Oiseaux régionaux
Parc national Aulavik
Pluvier bronzé
Le pluvier bronzé effectue l’une des plus longues migrations parmi les oiseaux de rivage. Il passe l’été dans l’Arctique et l’hiver en Amérique centrale et en Amérique du Sud. On peut l’observer en terrain découvert et dans les tourbières.
Sterne arctique
La sterne arctique exécute la plus longue migration de tous les oiseaux. Elle se déplace en effet entre l’Antarctique et l’Arctique chaque année pour se reproduire. La sterne arctique défend farouchement son nid contre tous les prédateurs potentiels qui s’approchent trop près.
Bécasseau de Baird
Le bécasseau de Baird est l’une des quatre espèces de bécasseau que l’on peut observer dans l’Arctique de l’Ouest. Cet oiseau migre rapidement en parcourant environ 15 000 km en seulement cinq semaines.
Bernache du Canada
Observez ces oiseaux qui volent en bandes en forme de V. Très répandues, les bernaches du Canada se retrouvent près des étangs, des lacs et des marais dans l’Arctique de l’Ouest.
Faucon gerfaut
Le plumage du faucon gerfaut va du gris brun foncé au blanc presque pur. Le faucon gerfaut est un oiseau du Nord que l’on trouve toute l’année en Alaska, au Yukon, dans les Territoires du Nord-Ouest et au Nunavut.
Alouette hausse-col
Souvent observée dans la toundra au printemps et durant l’été, l’alouette hausse-col se reconnaît à sa face noire et jaune et à ses deux petites aigrettes. La femelle ramasse des cailloux, de la bouse et des mottes de terre qu’elle place près de son nid. On croit que cela pourrait aider à stabiliser le nid pendant sa construction.
Grand corbeau
On reconnaît le grand corbeau à son croassement profond et guttural. Le corbeau est l’un des oiseaux les plus intelligents et comme les autres corvidés, il résout continuellement des problèmes complexes créés par des scientifiques.
Plectrophane lapon
L’été, dans la toundra, le plectrophane lapon mange entre 3 000 et 10 000 graines et insectes par jour, et donne environ 3 000 insectes par jour à ses petits. Il est doté d’une griffe arrière exceptionnellement longue.
Labbe à longue queue
Le labbe à longue queue se nourrit de lemmings l’été dans l’Arctique, mais passe la plus grande partie de l’année en mer, où il pêche du poisson et fait concurrence aux autres oiseaux de mer. La plupart des adultes nicheurs perdent les longues plumes centrales de leur queue hors de la saison de reproduction.
Plongeon du Pacifique
Le plongeon du Pacifique est plus petit que le plongeon huard et se reconnaît à sa fine tête grise et à son bec droit. On peut l’observer l’été sur les lacs dans la toundra, et l’hiver dans les eaux côtières.
Bécasseau à poitrine cendrée
Le bécasseau à poitrine cendrée niche dans la toundra arctique. Certains bécasseaux migrent en Australasie pour l’hiver, mais la plupart se rendent dans le sud de l’Amérique du Sud. Certains effectuent donc une migration aller-retour de près de 31 000 km chaque année! En période de reproduction, le mâle du bécasseau à poitrine cendrée gonfle et contracte sa poitrine pendant les vols de parade et émet des sons qui ressemblent à une série hululements et figurent parmi les plus inhabituels dans la toundra arctique l’été.
Faucon pèlerin
Le vol du faucon pèlerin a été chronométré à 320 km/h, soit environ 200 km/h de plus qu’un guépard! On retrouve cet oiseau sur chaque continent, sauf en Antarctique.
Plongeon catmarin
Le plongeon catmarin est la plus petite espèce de plongeon qui fréquente l’Arctique de l’Ouest l’été. Tout comme les autres plongeons, il plonge depuis la surface pour attraper du poisson, mais il chasse parfois des airs en volant rapidement puis en piquant vers sa proie avec la précision d’un faucon.
Grue du Canada
On reconnaît la grue du Canada à son appel claironnant et bruyant. Les grues du Canada s’accouplent pour la vie et sont connues pour leur danse nuptiale durant laquelle elles étirent leurs ailes, balancent la tête, s’inclinent et sautent gracieusement en l’air.
Pluvier semipalmé
On reconnaît le pluvier semipalmé à son sifflement plaintif et on peut l’observer dans des nuées d’autres petits oiseaux de rivage.
Oie des neiges
L’oie des neiges niche dans des aires éparpillées dans tout le nord de l’Arctique. Durant leurs trois premières semaines, les oisons peuvent marcher avec leurs parents jusqu’à 80 km de leur nid à une aire d’élevage plus appropriée.
Le harfang de neige
Le harfang des neiges se reproduit et niche dans les régions les plus au nord de l’Arctique canadien. Les harfangs des neiges profitent pleinement des 24 heures de lumière par jour l’été dans l’Arctique et chassent à toute heure. Comme ils disposent de toutes ces heures supplémentaires pour chasser, ils mangent parfois jusqu’à 1 500 lemmings en un an!
Cygne siffleur
En période de reproduction dans le Grand Nord, le cygne siffleur dort presque tout le temps sur le sol, mais il dort plus souvent sur l’eau l’hiver. Le cygne siffleur défend son nid et ses petits contre les prédateurs comme le renard, la belette, le loup, l’ours et d’autres oiseaux.
Lagopède des saules
Le lagopède des saules vit toute l’année dans la toundra subarctique. Il est blanc l’hiver, et brun et roux l’été. L’hiver, on peut observer des nuées composées de plus de 2 000 individus lorsque la nourriture est abondante!
Plongeon à bec blanc
Le plongeon à bec blanc est plus grand que le plongeon huard et on le reconnaît facilement à son bec jaune pâle. C’est l’une des quatre espèces de plongeons qui se reproduisent dans l’Arctique de l’Ouest.
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