Politiques et lignes directrices
Manuel pour l'enregistrement des données archéologiques
Annexe A: Fiche d’inventaire des sites archéologiques de Parcs Canada et guide d’utilisation
Fiche d’inventaire des sites archéologiques (PDF, 259 Ko)
Guide d’utilisation de la fiche (PDF, 601 Ko)
Parcs Canada
Inventaire des sites archéologiques
Guide d’utilisation de la fiche
Ce guide s’utilise conjointement avec la Fiche d’inventaire des sites archéologiques de
Parcs Canada
Les champs de données obligatoires (s’il y a lieu /si disponibles) sont marqués d’un astérisque (*)
Direction des services archéologiques, Direction générales des lieux historiques nationaux, Agence Parcs Canada
Table des matières
- Comment utiliser ce guide
- A01 Numéro du site (provenance) de Parcs Canada*
- Exemples
- A02 Nom du site
- Exemples
- A03 Titre du projet
- Exemple
- A04 Numéro de site du chercheur*
- Exemples
- A05 Code Borden*
- Exemples
- A06 Numéro de permis*
- Exemples
- A07 Chercheur*
- Exemple
- A08 Code du parc ou du site
- Exemples
- A09 Numéro de contrat*
- Exemple
- Données de localisation (information générale)
- Directives pour l’utilisation d’un appareil GPS
- Carte du site (information générale)
- B01 Coordonnées UTM*
- Exemples
- B02 Latitude*
- Exemples
- B03 Longitude*
- Exemples
- B04 Altitude*
- Exemples
- B05 Système de référence (géodésique)
- Exemples
- B06 Méthode de détermination (coordonnées)*
- Exemples
- B07 Localisation*
- Exemple
- B08 Accès*
- Exemple
- B09 Numéro de référence de la carte*
- Exemples
- B10 Échelle de la carte*
- B11 Autre carte*
- Exemple 14
- B12 Drainage secondaire*
- Exemples
- B13 Drainage principal*
- Exemples
- B14 Numéro de référence de photo aérienne*
- Exemples
- B15 Province/Territoire*
- Exemples
- B16 District/Comté*
- Exemples
- B17 Canton*
- Exemples
- B18 Toponyme le plus près
- Exemples
- B19 Région culturelle
- Exemples
- B20 Orientation
- B21 Plan du site/ Croquis cartographique*
- Symboles normalisés pour les dessins et les cartes
- C01 Contexte environnemental
- C02 Type de sol
- D01 Propriétaire*
- Exemples
- D02 Juridiction *
- Exemples
- D03 Description légale*
- Exemple
- E01 Date de visite (De/À)*
- Exemples
- E02 Nature du travail réalisé (Activité lors de la visite)*
- E03 Changement depuis la dernière visite*
- E04 Nom de l’informateur*
- E05 Images/ Enregistrements*
- F01 Évaluation de la condition (généralités)*
- F02 Perturbations (sources d’impact)*
- Exemples
- F03 Site menacé ?*
- F04 Estimation % Perturbé/affecté*
- G01 Dimensions du site*
- Exemples
- G02 Dimensions du site (commentaires)
- Exemple
- G03 Description du site (généralités)*
- G04 Structures*
- Exemples
- G05 Découverte isolée*
- G06 Type de site/ Fonction*
- Exemples
- G07 Angle de la pente
- H01 Type de site*
- Exemples
- H02 Période culturelle*
- Exemples
- H03 Dates scientifiques/Datation au carbone 14*
- Exemples
- H04 Culture
- Exemples
- H05 Strate culturelle
- Exemple
- I01 Niveau de GRC*
- I02 Objets/Échantillons (prélevés)*
- Exemples
- I03 Objets/Échantillons (non prélevés)*
- J01 Remarques
- Exemples
- J02 Recommandations*
- Exemple
- K01 Type de documents/ archives*
- K02 Renvoi au carnet de notes de terrain*
- K03 Références bibliographiques
Bibliographie du Guide d’utilisation
Introduction
Les ressources archéologiques de Parcs Canada doivent être enregistrées avec précision afin de voir à ce qu’elles soient prises en considération dans les décisions relatives à la GRC (gestion des ressources culturelles) et en vue d’établir une base de données pour la recherche, l’éducation du public, la conservation et d’autres usages à l’échelle nationale.
La fiche d’inventaire des sites archéologiques de Parcs Canada est utilisée pour faire rapport de tous les sites archéologiques nouvellement découverts et pour la mise à jour des données dans le cas des sites enregistrés et signalés précédemment. La mise à jour de l’inventaire des sites archéologiques se trouve sous la responsabilité de chacun des centres de services de Parcs Canada situés dans tout le pays. Le contenu de la fiche d’inventaire des sites archéologiques et du guide d’utilisation l’accompagnant a été défini à la suite d’une analyse de toutes les fiches d’inventaire des sites archéologiques et des guides utilisés dans toutes les provinces et territoires canadiens. Il s’harmonise également avec les exigences particulières du système d’enregistrement de Parcs Canada et les normes internationales relatives aux données archéologiques (voir CIDOC 1998). Ces documents, de même que les cartes topographiques ou les cartes produites par des SIG sur lesquelles la plupart des sites sont localisés, constituent les principales composantes de l’inventaire des sites archéologiques de Parcs Canada.
Même si les variables de la fiche d’inventaire des sites archéologiques traduisent les exigences du système Borden pour toutes les provinces et territoires, il est recommandé de consulter l’institution responsable de l’attribution des codes Borden afin de satisfaire à toutes les exigences courantes.
L’un des plus grands défis rencontrés dans un tel inventaire d’échelle nationale réside dans le fait qu’il faut composer avec une variété d’exigences en termes d’enregistrement des données archéologiques à travers le Canada, tout en incorporant, dans la mesure du possible, les exigences des institutions provinciales et territoriales responsables de l’attribution des codes Borden. De plus, étant donné que le Canada participe activement au comité CIDOC du Conseil International des Musées (ICOM), il est nécessaire de se conformer aux normes internationales en vue de l’échange de données archéologiques (voir CIDOC 1998).
Comment utiliser ce guide
Les instructions pour chacun des champs de données sont fournies dans le présent guide. Ces champs sont identifiés dans la colonne de gauche de la fiche d’inventaire des sites archéologiques de Parcs Canada. Un astérisque (*) indique les champs obligatoires (s’il y a lieu ou là où les données le permettent). Les champs de données et la fiche même peuvent être modifiés pour répondre aux besoins du centre de services qui est responsable d’enregistrer les sites archéologiques sous son autorité et d’en rendre compte, mais comme il est indiqué, les champs obligatoires doivent être remplis aussi précisément que possible lorsque l’information est disponible ou que le champ est applicable à un site particulier.
Ce guide ainsi que la fiche qui lui est associée sont structurés en catégories générales qui peuvent être reclassées en utilisant des filtres, et leur style peut être modifié pour des fins de gestion interne ou d’enregistrement des données. Des paramètres additionnels pour l’enregistrement des données archéologiques sont résumés dans le document principal de Parcs Canada intitulé Parcs Canada Manuel pour l’enregistrement des données archéologiques : fouilles et prospections (2005). Un site archéologique, quel qu’en soit le type ou l’affiliation, devrait toujours être enregistré de la manière la plus détaillée et la plus précise possible afin que l’inventaire des sites archéologiques de Parcs Canada soit d’une utilité maximale pour la gestion des ressources archéologiques, la recherche et la planification de leur conservation.
Pour de l’assistance ou des clarifications, veuillez communiquer avec le directeur de la gestion des ressources archéologiques, Direction des services archéologiques, Direction générale des lieux historiques nationaux, Agence Parcs Canada, 25 rue Eddy, 5e étage (25-5-Y), Gatineau, Québec, K1A 0M5.
A. Identification du site
A01 Numéro du site (provenance) de Parcs Canada*
Il s’agit du numéro officiel d’identification (provenance) de Parcs Canada (p. ex., 130X1). Il est déterminé par l’archéologue responsable du projet et doit être inscrit s’il est connu. Les paramètres relatifs à la provenance sont présentés en détail dans le document principal de Parcs Canada intitulé Manuel pour l’enregistrement des données archéologiques : fouilles et prospections (2005).
Exemples
5A
8B
1035G
1007T
130X1
300X100
A02 Nom du site
Indiquer tous les noms des sites connus. Séparer les entrées multiples par un point-virgule. Un site peut être connu sous plusieurs noms dont le nom local traditionnel (autochtone), un nom attribué par un chercheur, un nom utilisé communément par les résidents de la région ainsi que les toponymes officiels qui apparaissent sur les cartes du SNRC ou d’autres cartes. Ce champ peut également être utilisé pour les épaves.
Exemples
Kittigazuit
Kittegazuit
Old Kitty
Kittygaryuit
Tsiigeh tshik
Button Point
Sannirut
A03 Titre du projet
Indiquer le titre du projet archéologique. Séparer les entrées multiples par des points-virgules.
Exemple
LHNC de Lower Fort Garry : Projet d’infrastructures pour l’accès des bateaux
PNC Wapusk : Projet d’inventaire archéologique
A04 Numéro de site du chercheur*
Indiquer tout numéro temporaire du site ou le nom attribué par le chercheur sur le terrain. En l’absence d’un numéro de provenance du site, le format recommandé pour l’identification de chaque site est d’utiliser le nom du chercheur au long ou ses initiales, l’année et le numéro du site en suivant une séquence.
Exemples
TR Est-1
Jane Doe-2004-1
Jane Doe-2004-2
JD-2004-1
JD-2004-2
A05 Code Borden*
Laisser cet espace vide pour les nouveaux sites. Indiquer le code Borden (du site) s’il est connu (dans le cas d’un site revisité par exemple). Dès que possible, l’archéologue du projet doit faire une demande de code Borden auprès de l’institution provinciale ou territoriale appropriée. Il est à noter que certains sites archéologiques enregistrés par Parcs Canada peuvent ne pas répondre aux critères des sites à code Borden administrés par les provinces ou les territoires (p. ex., en raison de l’âge) et peuvent ne pas se voir attribuer un code Borden. Ils demeureront des sites archéologiques en vertu du système de provenance de Parcs Canada (sans code Borden). Les codes Borden s’inscrivent selon le format suivant (des renseignements supplémentaires sont disponibles sur le site Web du Musée canadien des civilisations) : première lettre majuscule, seconde lettre minuscule, troisième lettre majuscule, quatrième lettre minuscule, suivie d’un trait d’union et d’un chiffre. Si le quadrilatère du code Borden est connu, mais que la séquence numérique n’est pas encore établie, inscrire zéro comme numéro séquentiel. Si on connaît seulement le grand quadrilatère du code Borden, indiquer « z » pour les lettres minuscules (KzNz0). Si le quadrilatère du code Borden est inconnu, inscrire « Y » pour les lettres majuscules et « y » pour les minuscules (YyYy-0). Séparer les caractères supplémentaires suivant la séquence numérique par un espace (KeNi-1 A).
Exemples
KeNi-1
KeNi-1 A
KeNI-1 -1
KeNi-0
KzNz-0
YyYy-0
A06 Numéro de permis*
Indiquer le numéro de permis de recherche archéologique délivré au chercheur par Parcs Canada, une province ou un territoire.
Exemples
TNO 96-829
TNO 2001-987
94-6ASR
NUNAVUT 2001-018A
Parcs Canada, Permis No. 97-00004
A07 Chercheur*
Faire la liste des chercheurs principaux/archéologues des projets/détenteurs de permis qui ont travaillé sur le site. Utiliser le format suivant : nom de famille, prénom, initiales. Les noms des chercheurs associés doivent être séparés par un point-virgule.
Exemple
Adams, Gary F.; Burke, Charles A.
A08 Code du parc ou du site
Ce code crée un groupe de sites archéologiques ou des liens entre ceux-ci (qui peuvent être nombreux) à partir d’une seule entité géographique comme un parc national du Canada ou un lieu historique national du Canada. S’il y a lieu, consulter la liste de référence du centre de services concerné afin d’obtenir la liste des codes valides pour les aires patrimoniales protégées administrées par Parcs Canada. Le code est principalement utilisé pour classer ou sélectionner dans la base de données archéologiques de Parcs Canada. Les exemples ci-dessous proviennent de la base de données du Centre de services de l’Ouest.
Exemples
H51 (LHNC de York Factory)
P37 (Aulavik, PNC)
A09 Numéro de contrat*
S’il y a lieu, inscrire le numéro de contrat du détenteur de permis pour réaliser la recherche archéologique. Séparer les entrées multiples par des points-virgules.
Exemple
1630-79-67; 1630-82-25
B. Localisation
Données de localisation (information générale)
Pour l’enregistrement des coordonnées spatiales/géographiques d’un site archéologique (ou d’une composante d’un site archéologique), on doit choisir au moins l’une des deux méthodes suivantes :
- Coordonnées civiles UTM (voir le champ « Coordonnées » (section B01));
- Coordonnées géographiques (voir les champs « Latitude » et « Longitude » (sections B02 et B03)).
L’utilisation de chacun des deux ensembles d’indications sur la position est encouragée et acceptée. Le format préconisé est le système de coordonnées civiles UTM, NAD 83, étant donné qu’en ce moment, il s’agit du système le plus largement accepté en Amérique du Nord. Des programmes de conversion pour les NAD autres que 83 sont disponibles sur le Web (comme par exemple sur le site de Géomatique Canada). Les degrés suivis de décimales sont souvent requis pour une utilisation dans les bases de données des SIG.
Lorsque les données ne sont pas disponibles dans le format préconisé, les données sur la position peuvent être acceptées dans les formats suivants :
- NAD 27, coordonnées MGRS;
- NAD 83, coordonnées MGRS;
- NAD 27, latitude et longitude, coordonnées en degrés, minutes et secondes ou en degrés et fractions de degrés;
- WGS 84, latitude et longitude, coordonnées en degrés, minutes et secondes ou en degrés et fractions de degrés;
- Une carte du SNRC préparée sur le terrain indiquant l’emplacement des sites.
Dans tous les cas, les cartes du SNRC montrant l’emplacement de chaque site représenté par un point sont obligatoires. Les cartes du SNRC à l’échelle 1:50 000 (ou une copie à l’échelle d’une portion de celles-ci) sont acceptables en format imprimé sur papier ou numérique (p. ex., .jpg). Il est préférable que les fiches des sites soient remises en fichiers de type Excel, Access ou texte délimité par des tabulations.
Directives pour l’utilisation d’un appareil GPS
Des directives détaillées pour l’utilisation d’un appareil GPS sont disponibles dans un document intitulé Guidelines for Recording Archaeological Site Coordinates with Global Positioning System (GPS), qui se trouve sur le site Web du Prince of Wales Northern Heritage Centre (PWNHC n.d., consulté en ligne en juin 2004 à l’adresse suivante : http://pwnhc.learnnet.nt.ca/programs/downloads/NWTGPSStandards.pdf Ces directives sont recommandées comme normes pour les sites archéologiques de Parcs Canada. De plus, les directives font partie des exigences s’appliquant aux archéologues détenteurs de permis dans les Territoires du Nord-Ouest.
À partir des directives mentionnées ci-dessus, il faut enregistrer au moins les informations suivantes, préférablement dans le carnet de notes de terrain (les paramètres ou des exemples sont fournis pour chaque élément) :
- numéro d’identification du site (numéro de provenance fortement recommandé);
- le modèle et le type d’appareil GPS (p. ex., Garmin 12 XL);
- la date d’enregistrement des coordonnées (aaaa-mm-jj);
- les unités (système métrique fortement recommandé);
- le système de référence utilisé (p. ex., NAD 83);
- le système de coordonnées utilisé (UTM ou degrés suivis de décimales fortement recommandés. Voir ci-dessus);
- les coordonnées géographiques (pour les petits sites archéologiques couvrant moins de 100 mètres carrés, une seule position suffit. Pour les sites de plus grandes dimensions, l’enregistrement de cinq positions est recommandé. Celles-ci devraient être prises au centre du site ainsi qu’à la limite maximale pour chacun des quatre points cardinaux. Dans le cas des grands sites, l’enregistrement de plusieurs positions est particulièrement utile pour les programmes de SIG);
- la hauteur de l’antenne (utiliser la hauteur de votre sac à dos ou d’un trépied et inscrire cette hauteur. Noter que la présence de végétation peut nuire à l’enregistrement);
- la PDOP pour chaque position enregistrée (ne devrait pas dépasser 6);
- le statut de 3-D en mode manuel (minimum de quatre satellites);
- la puissance du signal (niveau minimum de 6);
- la position des satellites (un angle minimum de 15 degrés au-dessus de l’horizon et sans obstruction est nécessaire);
- les conditions météorologiques (p. ex., couvert nuageux).
Carte du site (information générale)
La carte d’un site est essentielle pour signaler l’emplacement exact de celui-ci. Elle devient l‘enregistrement permanent de son emplacement. Deux types de cartes doivent accompagner la fiche d’inventaire des sites archéologiques de Parcs Canada : une carte du SNRC au 1:50 000e sur laquelle doit être indiquée la position exacte du site ainsi qu’une carte détaillée du site (« Plan du site/Croquis cartographique », champ B21). Une carte au 1:20 000e peut également être incluse si des informations supplémentaires sur l’emplacement d’un site sont nécessaires pour mieux le situer ou le localiser. Une carte détaillée du site est : 1) essentielle pour suivre les changements survenant au site avec le temps; 2) utile pour l’évaluation de l’importance du site par rapport à d’autres sites de la région; et 3) utile pour répondre adéquatement et rapidement aux organismes variés sans exiger une nouvelle vérification sur le terrain pour déterminer les limites des sites se trouvant à proximité. Consulter la section B21 du guide d’utilisation de la fiche pour ce qui a trait aux exigences cartographiques particulières.
B01 Coordonnées UTM*
Inscrire la zone du système civil de quadrillage UTM, les six chiffres pour exprimer l’abscisse et les sept chiffres pour l’ordonnée. Ces coordonnées devraient être obtenues à l’aide d’un appareil GPS. Si elles sont obtenues par d’autres moyens (p. ex., cartes numériques, lecture à partir d’une carte du SNRC), veuillez l’indiquer dans le champ « Méthode de détermination » (section B06), ou dans le champ « Remarques » (section J01). Le système de notation pour la localisation ou le quadrillage du système UTM apparaissent sur la majorité des cartes du SNRC, et la méthode de base pour calculer les cordonnées UTM est expliquée dans la marge de la plupart des cartes quadrillées. Sur les cartes du SNRC, la distance entre chaque ligne du quadrillage est de 2 cm (1000 m sur le terrain), et conséquemment, une règle graduée en unités métriques peut être utilisée pour calculer l’abscisse et l’ordonnée aux cent mètres. Les cordonnées civiles UTM devraient être utilisées comme pratique exemplaire, mais le système militaire de quadrillage de référence (MGRS) peut également être utilisé si nécessaire.
Exemples
Zone UTM Zone : 10; Est : 621700; Nord 7557350 [Civile]
12WEF E1234 N5678 [MGRS]
B02 Latitude*
Calculer la latitude du site à la seconde près. Fournir les degrés, les minutes et les secondes ou les degrés et fractions décimales si requis (p. ex., pour une base de données de SIG). Dans le champ « Remarques » (section J01), indiquer si les coordonnées ont été obtenues en utilisant un appareil GPS ou si elles ont été calculées à partir d’une carte du SNRC.
Exemples
56d 45m 20s N
45.12345
B03 Longitude*
Calculer la longitude du site à la seconde près. Fournir les degrés, les minutes et les secondes ou les degrés et fractions décimales si requis. Dans le champ « Remarques », indiquer si les coordonnées ont été obtenues en utilisant un appareil GPS ou si elles ont été calculées à partir d’une carte du SNRC.
Exemples
90d 40m 30s O
124d 32m 23s O
75.12345
B04 Altitude*
Enregistrer à la fois l’altitude du site au-dessus du niveau de la mer et son altitude locale au-dessus d’un terrain ou d’un plan d’eau adjacent. Il est préférable d’inscrire l’élévation en mètres (pour convertir les pieds en mètres, multipliez par 0,3048). Les sites submergés devraient être enregistrés en mètres au-dessus ou au-dessous d’un point de référence hydrographique (BHD). Inscrire l’altitude comme un seul chiffre suivi de BSL (sous le niveau de la mer) ou ASL. Si un intervalle précis d’altitudes est disponible, indiquer l’altitude « De » et « À » comme dans l’exemple ci-dessous :
Exemples
30 mASL
30 mBHD
De : 30 (mASL) À : 30 (mASL)
B05 Système de référence (géodésique)
Indiquer le système de référence géodésique.
Exemples
NAD 83
NAD 27
WGS 84
B06 Méthode de détermination (coordonnées)*
Cocher les cases appropriées ou indiquer les méthodes ou les instruments utilisés pour calculer les coordonnées du site (en incluant l’altitude) et l’erreur estimée pour chacun des calculs. Toutes les notes supplémentaires peuvent être incluses dans le champ « Remarques » (section J01). Préciser à quelles coordonnées correspond la méthode de détermination.
Exemples
Position obtenue avec un appareil GPS (différentiel)
Altimètre d’arpentage Wallace & Tierman
Estimation à partir d’une carte du SNRC
B07 Localisation*
L’information inscrite dans cette section a pour but de permettre à toute personne de localiser un site sur la carte au 1:50 000e du SNRC appropriée. Décrire le site de manière logique du général au particulier, en commençant par une description assez générale de l’aire. Décrire l’emplacement du site en rapport avec les entités géographiques ou les points de repère figurant sur la carte au 1:50 000e du SNRC. L’emplacement du site peut être déterminé par triangulation, à l’aide d’un compas (préciser s’il s’agit du nord géographique, du nord du quadrillage ou du nord magnétique) et en calculant les distances depuis les entités apparaissant sur la carte du SNRC (p. ex., sommet de colline, pic montagneux, embouchure de rivière ou de ruisseau, esker, promontoire). Les entités qui ne sont pas cartographiées, comme les arbres ou les bâtiments, ne devraient pas être utilisées comme points de repère. Les distances devraient être mesurées avec précision, à l’aide d’un ruban à mesurer, le compteur d’une voiture ou toute autre mesure précise.
Exemple
Situé entre Campbellford et Meyersburg, à l’ouest de l’autoroute 50, sur la rive ouest de la rivière Trent, 300 m à l’ouest de la confluence avec la rivière Crowe.
B08 Accès*
Expliquer précisément comment accéder au site et si on peut s’y rendre à pied ou en véhicule (motorisé ou autre). L’information inscrite dans cette section a pour but de permettre à toute personne de relocaliser le site sur le terrain (ou en milieu subaquatique) en indiquant la méthode de transport requise pour y accéder. L’information sur l’accès devrait compléter l’information sur la localisation en faisant référence aux entités qui ne se trouvent pas nécessairement sur la carte du SNRC (p. ex., entités géographiques locales, sentiers d’hommes ou d’animaux) et en indiquant la méthode de transport requise. Porter attention aux détails et utiliser les points cardinaux (N, S, E, O, NO, etc.) et pas de « gauche » ou « droite » sauf si un point cardinal les accompagne.
Exemple
Situé approximativement à 2 km au SO de la cabane verte, à l’O du site 130X120, sur une haute falaise 300 m à l’O de la rivière Thomsen. Cinq étangs de toundra et un grand affleurement rocheux sont visibles en bas du site, du côté NE. Accessible par hélicoptère, par canot ou à pied.
B09 Numéro de référence de la carte*
Inscrire le numéro de référence de la carte appropriée du SNRC à l’échelle 1:50 000 ou d’une autre échelle, par exemple 1: 250 000). Les cartes d’autres types devraient être enregistrées dans le champ “Autre carte”.
Exemples
97A (Lac Erly)25K
25K/3W
103P/10
B10 Échelle de la carte*
Inscrire l’échelle de la carte (du SNRC ou autre) sur laquelle l’emplacement du site est noté.
B11 Autre carte*
Indiquer le nom ou le numéro de toute carte autre que celles du SNRC qui se rapporte au site de même que l’organisme qui l’a produite ainsi que l’échelle. Veuillez ne pas inscrire dans ce champ les plans détaillés et les croquis (ceux-ci sont indiqués dans le champ « Plan du site/Croquis cartographique »). Les cartes historiques comme les cartes provenant d’archives, carte de lignes de piégeage, etc., peuvent être notées avec l’échelle, s’il y a lieu. On peut inclure les numéros des cartes hydrographiques pour les sites submergés.
Exemple
082F Stuie, 1:250 000
B12 Drainage secondaire*
Le nom du plan d’eau auquel le site est le plus étroitement associé. Pour les épaves : inscrire le nom du plan d’eau secondaire (havre, anse, baie, etc.) à l’intérieur du plan d’eau principal qui renferme l’épave. Indiquer le bassin versant ou le lac de moindre importance si le site se trouve sur une voie de navigation intérieure.
Exemples
Ruisseau Muskox
Ruisseau sans nom
Peggy’s Cove (pour les épaves et les sites submergés en milieu côtier)
Lac Ontario (pour les épaves et les sites submergés intérieurs)
B13 Drainage principal*
Le système hydrographique principal auquel le drainage secondaire associé au site se relie. Pour les épaves, indiquer le nom ou la description du plan d’eau principal comme par exemple le détroit, bras de mer, chenal, etc. qui renferme le site de l’épave. Inscrire le drainage principal si le site se trouve sur une voie de navigation intérieure.
Exemples
Rivière Thomsen
Rivière sans nom
Mer du Labrador (pour les épaves et les sites submergés en milieu côtier)
Baie d’Hudson (pour les épaves et les sites submergés intérieurs)
B14 Numéro de référence de photo aérienne*
Inscrire le numéro de référence de la photo aérienne. Séparer les entrées multiples par un point-virgule.
Exemples
A-16098-7
A-17242
Q287-45
B15 Province/Territoire*
Dans ce champ, indiquer la province ou le territoire où se trouve le site. Inscrire en format abrégé le nom de la province ou du territoire. Utiliser les codes de Postes Canada pour les provinces et les territoires. Utiliser les majuscules seulement. Noter que le code « NL » comprend le Labrador.
Exemples
AB, BC, MB, ON, PE, QC, NL, NT, NU,NS, SK, YT
B16 District/Comté*
Inscrire le nom du district ou du comté (s’il y a lieu) où le site se trouve. Cette variable peut s’appliquer également aux districts régionaux ainsi qu’aux comtés et cantons à l’intérieur de provinces.
Exemples
Keewatin [District]
Simcoe [Comté]
B17 Canton*
Inscrire le nom du canton où se trouve le site, s’il y a lieu.
Exemples
Fitzroy
Nottawasaga
B18 Toponyme le plus près
Inscrire le (s) nom (s) de lieu le (s) plus proche (s) .
Exemples
Aklavik
Campbellford
Sydney
B19 Région culturelle
Établir la liste des noms des régions culturelles et des aires ethnographiques où se trouve le site.
Exemples
Premières nations Champagne-Aishihik
Première nation Kwanlin Dun
Première nation White River
B20 Orientation
Indiquer à quelle direction le site fait principalement face. Utiliser les points cardinaux (N, E, S, O, NNO).
B21 Plan du site/ Croquis cartographique*
Le guide d’utilisation de la fiche d’inventaire des sites archéologiques de la Colombie-Britannique (révisé en 2003 et disponible sur Internet) présente d’excellentes normes minimales pour la cartographie détaillée. Il est fortement recommandé que les archéologues de Parcs Canada suivent ces normes.
Le guide d‘enregistrement des ressources archéologiques de la Saskatchewan (1992, disponible sur Internet) fournit des directives de base. Établir les limites du site et des structures de surface ou des aires d’activités par rapport : 1) aux principales formes de relief ou de végétation, comme les ruisseaux, collines, prés, etc.; 2) aux repères permanents existants tels que routes, bâtiments, clôtures, repères géodésiques, etc.; et 3) s’il y a lieu, aux aires d’érosion, projets d’utilisation des terres, développement, etc. qui pourraient avoir un impact négatif sur le site. De plus, indiquer à quel endroit les recherches archéologiques ont été effectuées, où des objets ont été prélevés et tout endroit ayant subi des impacts négatifs. Inclure une flèche pour indiquer le nord (le nord doit généralement se trouver au haut de la page) dans une des marges de la carte en précisant s’il s’agit du nord du quadrillage, du nord magnétique ou du nord géographique. De plus, inclure la distribution des formes d’aménagement et des structures, les points de référence, les relèvements à la boussole, l’échelle de la carte (données métriques) et les symboles dans une légende. Si possible, établir le lien entre l’emplacement des entités sur le plan ou la carte du site avec les entités apparaissant sur les cartes du SNRC et les champs « Accès » et « Localisation ».
Symboles normalisés pour les dessins et les cartes
Une liste de base des symboles normalisés pour les dessins et les cartes est fournie au tableau 1. Ces symboles sont recommandés comme pratique exemplaire et représentent une sélection parmi les symboles les plus courants dans les guides et les manuels archéologiques canadiens. La plupart sont basés sur l’ouvrage de Fry (c. 1975).
Description | Vue en plan | Vue latérale |
---|---|---|
Limite d’un site archéologique | ||
Pont | ||
Talus de pente | ||
Dépression (petite) | ||
Monticule/colline (petite) | ||
Pierres | ||
Pierres dressées | ||
Point de référence | ||
Station de niveau automatique/théodolite | ||
Clôture | ||
Marais/marécages | ||
Chemin de fer | ||
Route | ||
Sondage à la pelle | ||
Carottage | ||
Sentier (animal ou humain) | ||
Arbre | ||
Aire de végétation | ||
Cours d’eau (rivière, ruisseau) | ||
Lac/étang | ||
Rond de tente/Cercle de pierres |
C. Environnement
C01 Contexte environnemental
Décrire le contexte naturel du site : drainage, couvert végétal et formes de relief. Lorsque l’information est disponible, veuillez utiliser la terminologie de Parcs Canada pour les éléments biophysiques.S’il y a lieu, indiquer l’écorégion à l’intérieur de laquelle se trouve le site. En l’absence d’une terminologie de Parcs Canada appropriée, des directives utiles pour l’enregistrement des formes de relief d’un site sont fournies à l’annexe 3 du guide d’enregistrement des ressources archéologiques de la Saskatchewan (Gouvernement de la Saskatchewan 1992), disponible sur Internet. La description des habitats est également disponible sur Internet dans la fiche d’inventaire des ressources archéologiques des Maritimes (Nova Scotia Museum 2004). Pour la végétation, une directive suggérée se trouve dans la fiche d’inventaire des sites archéologiques du Yukon (Gouvernement du Yukon 2004, disponible sur Internet). Indiquer les noms des espèces dominantes sur le site. On suggère de classer les types de couvert végétal selon les catégories suivantes : arbres, arbustes, tapis végétal. Utiliser les noms communs ou scientifiques; énumérer par ordre d’abondance décroissante. Indiquer la densité du couvert forestier (p. ex., peuplement dense, ouvert, parc, repousse secondaire). Pour les sites submergés, fournir l’information sur les rivages, les zones exposées, l’action des vagues, les facteurs de visibilité, la proximité de voies de navigation, etc.
C02 Type de sol
Fournir une description générale de la matrice et de la stratification du sol, en incluant une description de la couleur, de la texture, de la profondeur et de la composition de chaque couche. Utiliser la terminologie des horizons de sol naturels en désignant des niveaux arbitraires à l’intérieur des horizons, si nécessaire.
L’un des systèmes de classification des particules les plus répandus en Amérique du Nord est l’échelle granulométrique logarithmique de Wentworth qui est présentée au tableau 2 ci-dessous. Elle fournit un système de classification des particules selon leurs dimensions avec une échelle allant des « blocs » (plus grand que 256 mm) aux « argiles » (moins de 0,0039 mm), et des catégories intermédiaires pour définir les galets, cailloux, sables et silts. Des tamis à mailles de dimensions spécifiques sont disponibles et permettent de calculer aisément les proportions de ces différentes particules. Les mailles et les tamis de dimensions variées sont décrits dans Fladmark (1978).
Classes | Millimètres (mm) | Commentaires |
---|---|---|
Bloc | Tout ce qui dépasse 256 | |
Galet | 64 – 256 | |
Caillou | 4 – 64 | |
Granule | 2 – 4 | Granule n’est pas une classe ni une taille souvent rencontrée. |
Sable très grossier | 1 – 2 | |
Sable grossier | 0,5 – 1,0 | |
Sable moyen | 0,25 – 0,5 | |
Sable fin | 0,125 – 0,25 | |
Sable très fin | 0,062 – 0,125 | |
Silt | 0,0039 – 0,062 | |
Argile | Moins de 0,0039 |
Par rapport à ce système, on peut noter dans le tableau 3 ci-dessous que la province de la Saskatchewan (Gouvernement de la Saskatchewan1992) propose une liste simplifiée des termes pour la classification des particules :
Classes | Millimètres (mm) |
---|---|
Bloc | Tout ce qui dépasse 256 |
Galet | 64 – 256 |
Gravier | 2 - 64 |
Sable | 0,05- 2 |
Silt | 0,002 – 0,05 |
Argile | 0,0002 – 0,002 |
D. Occupation
D01 Propriétaire*
Inscrire le nom du propriétaire (personne ou compagnie) du terrain sur lequel se trouve le site. Indiquer le (s) nom(s) de la personne, compagnie, ministère ou agence du gouvernement, groupe autochtone, etc. qui possède légalement les terres où se trouve le site et non pas le palier politique.
Voir également le champ « Juridiction ».
Exemples
John Doe
Parcs Canada
Première Nation Kluane
D02 Juridiction *
Indiquer si le site relève d’une autorité fédérale, provinciale, municipale, ou d’une administration politique des Premières nations/Inuvialuit/Inuit. Si « autre », veuillez préciser.
Exemples
Fédérale
Provinciale
Inuvialuit
D03 Description légale*
Inscrire le code de référence pour la région dans laquelle se trouve le site tel qu’inventorié pour l’enregistrement des titres fonciers (archéologie). Les unités et les pratiques varient selon la province ou le territoire. Ce champ fournit la description légale du site tel qu’indiqué dans le champ du Code Borden. Les descriptions légales sont produites lors des inventaires exigés pour l’enregistrement des titres fonciers. Pour des instructions sur la façon de lire ou de faire rapport sur les descriptions légales, consulter le guide d’enregistrement des ressources archéologiques de la Saskatchewan (Gouvernement de la Saskatchewan1992) et le guide d’utilisation de la fiche d’inventaire des sites archéologiques de la Colombie-Britannique (Gouvernement de la Colombie-Britannique 2003) qui sont tous deux disponibles sur Internet.
Exemple
1/4 NO. 1/4 de la section T-16N. R21E. O. du méridien.
E. Historique des visites
E01 Date de visite (De/À)*
Inscrire la ou les date (s) à laquelle (auxquelles) vous (ou votre informateur) avez visité ou travaillé sur le site. Si possible, indiquer la date complète de la dernière visite (aaaa-mm-jj). Pour les éléments de date inconnus, inscrire des zéros (0000-00-00) pour chaque élément manquant, au besoin. Inscrire tous les commentaires dans le champ « Remarques ».
Exemples
De : 2004-05-31 À : 2004-06-04
De : 2004-05-00 À : 2004-05-00
E02 Nature du travail réalisé (Activité lors de la visite)*
Cocher autant d’éléments sur la fiche d’inventaire des sites archéologiques que nécessaire ou décrire la gamme des activités réalisées sur le site dans le champ « Remarques » (J01).
E03 Changement depuis la dernière visite*
Pour les sites déjà enregistrés, les perturbations/impacts ont-ils augmenté ou diminué ? Faire une évaluation qualitative, et si possible, quantitative. Utiliser les lignes directrices pour le champ « Estimation % Perturbé/Affecté » (F04), s’il y a lieu. Décrire les changements observés à partir des données disponibles. Indiquer la date complète de la dernière visite, si elle est connue (aaaa-mmjj). Pour les éléments de date inconnus, inscrire des zéros (0000-00-00) pour chaque élément manquant, tel que requis.
E04 Nom de l’informateur*
Inscrire le nom complet et l’adresse de toutes les personnes ayant une connaissance particulière du site (p. ex., site signalé par un informateur).
E05 Images/ Enregistrements*
Indiquer le ou les types d’images produit (s) au cours de la visite du site ainsi que tout instrument d’enregistrement numérique ou analogique à partir desquels les documents ont été produits. Cocher autant d’éléments que nécessaire sur la fiche d’inventaire des sites archéologiques.
F. Condition
F01 Évaluation de la condition (généralités)*
Indiquer l’une des trois catégories. Celles-ci peuvent s’appliquer au site entier ou à ses composantes, selon le cas (préciser). Toutes les recommandations pour la gestion ou la protection du site peuvent également être mentionnées ici ou dans le champ des « Recommandations » (J02).
Bonne = Stable. Pas de dommage apparent ou de deterioration aux resources archéologiques connues. Il n’est pas nécessaire d’effectuer des travaux autres que la surveillance et l’entretien afin que l’intégrité des ressources archéoologiques soit maintenu.
Moyenne = Des dommages mineurs ou une deterioration des resources archéologiques connues occasionnent une pertes d’intégrité à ces vestiges. Des mesures de protection, une surveillance accrue et des mesures d’atténuation ou autres pourraient s’avérer nécessaires.
Pauvre = Des dommages importants ou une détérioration importantes des ressources archéologiques connues sont observés. Des mesures urgentes de protection et des mesures d’atténuation (sauvetage) ou autres pourraient s’avérer nécessaires afin d’interrompre la perte d’intégrité et d’enregistrer l’information avant qu’elle ne disparaisse.
Site Détruit = Le site est détruit ou endommagé à un point tel que le potentiel de données ou sa valeur pour la recherche scientifique sont jugés insuffisants pour justifier une surveillance ou des recherches supplémentaires.
Ajouter tous les commentaires nécessaires pour clarifier/justifier l’évaluation. Mettre une note si l’évaluation de la condition n’a pas été effectuée.
Note : Les directives suggérées sont basées sur les critères généraux utilisés dans le rapport SOPHAR de 1997 (Parcs Canada 1998) et l’ébauche de guide de cotation pour les énoncés d’intégrité commémoratives de Parcs Canada de mai 2005. Une discussion supplémentaire sera nécessaire afin de finaliser les critères officiels. La catégorie « Site détruit » a été empruntée au service américain des parcs (2003), Guidance on Determining Archaeological Site Condition for ASMIS (National Parks Service, 2003).
F02 Perturbations (sources d’impact)*
Cocher autant de facteurs de perturbation naturels ou culturels que nécessaire sur la fiche d’inventaire des sites archéologiques et fournir une brève description si nécessaire ou possible.
Exemples
érosion (affaissement) perturbation par des collectionneurs/vandales menacé par la construction routière perturbé par la circulation de véhicules tout terrain détruit par le ramassage illégal
F03 Site menacé ?*
Choisir une des trois catégories (Menacé, Non menacé ou Menace inconnue). « Menace inconnue » peut être utilisée lorsqu’il est impossible de déterminer ou d’évaluer les menaces qui pourraient influencer l’intégrité des ressources culturelles.
Justification : Indiquer la base/le raisonnement de votre évaluation.
Recommandations : Fournir des suggestions de mesures à prendre pour atténuer les impacts sur les ressources culturelles en vous basant sur l’inspection de terrain.
Commentaires : informations générales ou spécifiques, interprétations, etc. qui n’ont pas été notées précédemment.
Menaces futures : Estimer les menaces futures (perturbations/impacts) en utilisant l’échelle suivante : Fort, Moyen ou Faible.
Logique : Indiquer la base/le raisonnement de votre évaluation et enregistrer toutes les perturbations pouvant affecter le site et le moment où elles risquent de se produire.
F04 Estimation % Perturbé/affecté*
Cette section fournit plus de détails que la condition générale du site (voir le champ « Évaluation de la condition », F01). En faisant référence à l’étendue horizontale et verticale du site, estimer le pourcentage du site qui est perturbé/affecté.
Les directives recommandées sont basées sur le guide d’utilisation de la fiche d’inventaire des sites archéologiques du Yukon (Gouvernement du Yukon, 2004) et comprennent :
- Détruit (100 %);
- Très perturbé (50-90 %);
- Perturbé (25-50 %);
- Légèrement perturbé (5-25 %);
- Intact (pas de perturbation observable).
Indiquer la source de l’impact dans le champ F02 « Perturbations (sources d’impact) ». Lorsqu’un site a été détruit, si possible, indiquer la source de la destruction.
G. Description
G01 Dimensions du site*
Les directives suivantes pour l’enregistrement des dimensions des sites sont basées sur celles qui sont résumées dans Gouvernement de la Colombie-Britannique (2003).
Longueur : Inscrire la longueur du site en mètres suivis de la direction (p. ex., NNO, ENE, N, S, E, O). La longueur représente la plus grande dimension, quelle que soit la direction. Cependant, pour un site de forme irrégulière où la longueur varie, fournir la longueur maximale et la direction.
Largeur : Inscrire la largeur du site en mètres suivis de la direction. La largeur représente la mesure maximale enregistrée pour l’axe perpendiculaire à la longueur. Cependant, pour un site de forme irrégulière où la largeur varie, enregistrer la largeur maximale et la direction.
Inclure tous les commentaires (comme les dimensions enregistrées précédemment, les raisons des changements, etc.) dans le champ G02 « Dimensions du site (Commentaires) » ou dans le champ « Remarques » (J01).
Exemples
Longueur 200 m E/O.
Largeur 50 m N/S.
G02 Dimensions du site (commentaires)
Discuter de toutes les dimensions enregistrées précédemment sur le site et s’il y a lieu, des raisons des changements, de même que de tout autre détail pertinent. Indiquer si les mesures sont des estimations basées sur des observations ou si elles sont exactes lorsque les limites du site ont été déterminées par des sondages sous la surface. Noter si les mesures s’appliquent à l’ensemble du site ou à une partie seulement. Les dimensions du site doivent correspondre aux limites illustrées sur le plan du site à l’échelle.
Exemple
« En 1978, les dimensions enregistrées du site étaient les suivantes : 100 m N/S sur 25 m E/O. Cependant, en 2004, l’érosion de la rive a réduit la largeur du site. La largeur varie maintenant de 20 à 25 m. »
G03 Description du site (généralités)*
Cocher autant d’éléments que nécessaire sur la fiche d’inventaire des sites archéologiques pour décrire le site et ses composantes.
Les catégories comprennent : Surface, Enfoui, Submergé, Indéterminé, Objets dispersés, Structure unique, Structures multiples.
Noter que les « découvertes archéologiques isolées » sont traitées dans le champ « Découverte isolée » (G05).
G04 Structures*
Ce sont les éléments immobiliers du site. Indiquer le type et le nombre de structures observées. Si possible, utiliser un vocabulaire standardisé (p. ex., qui s’accorde avec le vocabulaire en usage au centre de services concerné de Parcs Canada ou avec celui des organismes du patrimoine provinciaux ou territoriaux ou du Réseau d’information du patrimoine canadien (CHIN)). Séparer plusieurs inscriptions par des points-virgules.
Exemples
cache (descripteur)
tombe
foyer
inuksuk (cairn)
cromlech
dépotoir (descripteur)
alignement de pierres (p. ex., clôture à caribou)
structure (descripteur)
rond de tente
affût pour la chasse
G05 Découverte isolée*
Cochez « oui » s’il s’agit d’une découverte archéologique isolée (trouvaille isolée) et expliquer pourquoi elle doit être enregistrée comme « site archéologique ». La définition de Parcs Canada d’une « découverte archéologique isolée » (trouvaille isolée) est : « Un seul objet archéologique qui est ou a été découvert sur place, sur, sous ou au-dessus du sol, ou sur des terres submergées, tels qu’une pointe de projectile ou des fragments d’un récipient en céramique. D’autres critères peuvent s’appliquer à cette définition, dans la mesure où l’archéologue en explique la raison. » Toutes les trouvailles isolées doivent être enregistrées et recevoir un numéro de provenance. L’archéologue d’un projet peut choisir d’enregistrer les trouvailles isolées comme site archéologique, dans la mesure où il en explique la raison.
G06 Type de site/ Fonction*
Indiquer le type de site tel que déterminé par le chercheur. Utiliser les exemples présentés ici comme directive générale ou les types recommandés dans votre province ou territoire. Il est recommandé d’utiliser, s’ils existent, les critères ou les listes officielles adoptés par l’organisme provincial ou territorial responsable d’attribuer les codes Borden. Pour le type de site « campement », il est recommandé d’indiquer « campement (usage, type, saison) ». Les saisons doivent être énumérées dans l’ordre suivant : printemps, été, automne, hiver. Indiquer les essais d’attribution avec un espace suivi d’un « ? » après le terme. D’excellents exemples de catégories, types et fonctions de sites se trouvent à l’annexe 3 du guide d’utilisation de la fiche d’inventaire des sites archéologiques de la Colombie-Britannique (Gouvernement de la Colombie-Britannique 2003, disponible sur Internet).
Exemples
campement (chasse, caribou, printemps)
campement ?
cérémoniel/religieux (tente étuve, arbre marqué)
dépression anthropique (abri menstruel, abri étuve, maison de planches, fosse d’entreposage)
culture matérielle (amas coquillier, canot, foyer, éclats de pierre taillée)
arbre modifié par action anthropique (coupe autochtone; écorcé)
terrassement (talus de tranchée, monticule, fortification)
récolte de nourriture (lieu d’abattage, enclos, clôture, piège, précipice)
tombe (cimetière, cercueil, maison des esprits, plate-forme, monticule, cairn, poteau mortuaire)
habitation (plate-forme, caverne, abri-sous-roche, refuge)
lieu d’abattage
repère ou balise (plaque LHNC)
extraction de ressources (raffinerie de pétrole, mine)
pierre modifiée (linéaire, effigie)
art rupestre (pictogramme, pétroglyphe, graffiti)
station (chasse)
subsistance (pêche, chasse, chasse au gibier à plumes)
surnaturel/mythologique (rocher à souhaits)
savoir traditionnel (site de transformation)
transport (sentier)
indéterminé
atelier (taille de la pierre)
G07 Angle de la pente
Estimer l’angle (degrés) ou le pourcentage de la pente du terrain où se trouve le site ou les ressources. Le clinomètre que l’on trouve sur la plupart des boussoles (p. ex., Brunton) peut être utilisé pour estimer l’angle.
H. Culture
H01 Type de site*
Ce champ indique le premier niveau de classification du type de site basé sur la définition large de la catégorie ou de la période d’occupation ou la fonction. Utiliser les catégories typologiques en vigueur dans votre juridiction. Il est recommandé d’utiliser, s’ils existent, les critères ou les listes officielles adoptés par l’organisme provincial ou territorial responsable d’attribuer les codes Borden.
Comme directive générale, il est recommandé d’utiliser les critères du Musée canadien des civilisations. Choisir un type ou une combinaison : préeuropéen, historique autochtone, historique, contemporain, naturel, indéterminé. Les attributions incertaines doivent être identifiées par un espace suivi d’un « ? » après le terme. Séparer les entrées multiples par des points-virgules.
Exemples
Préeuropéen
Préeuropéen ?
historique
autochtone historique
contemporain
naturel ; indéterminé
H02 Période culturelle*
Indiquer la période d’occupation du site telle que déterminée par l’archéologue du projet/chercheur principal par des moyens autres que les méthodes de laboratoire. Indiquer les dates relatives, si elles sont connues.
Exemples
pré-White River Ash
XVe siècle ?
XVIIe-XVIIIe siècles
4000-2000 B.P.
H03 Dates scientifiques/Datation au carbone 14*
Indiquer les dates absolues obtenues sur des échantillons provenant du site ou de ses composantes, si disponibles. Inscrire chaque date, la marge d’erreur et le numéro du laboratoire. Si une technique autre que la datation au carbone 14 est utilisée, indiquer la technique entre parenthèses après le numéro du laboratoire. Préciser le matériel, le contexte et les éléments associés à cette date; indiquer si le chercheur accepte ou rejette la date et les raisons à l’appui de son opinion.
Exemples
1690 +/- 50 (Beta-99129)
1380 +/- 105 (S-466) (NMC-302)
1930 +/- 200 (RIDDL-325)
H04 Culture
Il est suggéré d’utiliser l’approche du Musée canadien des civilisations comme ligne directrice. Inscrire la culture archéologique qui semble être représentée sur le site. S’ils sont disponibles, il est recommandé d’utiliser les critères (ou les listes officielles) adoptés par les organismes provinciaux ou territoriaux responsables d’attribuer les codes Borden. Les attributions incertaines doivent être identifiées par un espace suivi d’un « ? » après le terme. Les modificateurs doivent être ajoutés entre parenthèses après le terme. Les entrées multiples doivent être séparées par un point-virgule.
Exemples
TMA (Tradition microlithique de l’Arctique)
Béothuk
Dorsétien ?
Déné
Thuléen
Prédorsétien
H05 Strate culturelle
Décrire de manière concise les catégories générales de culture matérielle présentes dans chaque couche de sol. Décrire la couleur, la texture et la composition du sol et un bref résumé des sondages à la pelle, du carottage ou des unités sondées. Pour le Yukon, si la couche de cendre de White River est présente parmi les couches du site, indiquer la profondeur des vestiges découverts sous cette couche.
Exemple
Limon sableux à grain fin brun jaunâtre (Munsell : 10 YR 5/4, dimension des particules 0.250.5 mm); charbon de bois
I. Gestion
I01 Niveau de GRC*
Indiquer le niveau global de gestion des ressources culturelles (GRC) pour le site ou le niveau de GRC des éléments du site, si requis (préciser), en se basant sur les critères de la politique de Parcs Canada en matière de GRC (Parcs Canada 1994:106-8). Présenter aussi le raisonnement sous-jacent à l’évaluation.
I02 Objets/Échantillons (prélevés)*
Fournir un aperçu de la variété d’objets et d’échantillons qui ont été prélevés; cocher autant d’éléments que nécessaire sur la fiche d’inventaire des sites archéologiques. Indiquer aussi le lieu où ils seront entreposés (voir l’exemple). Ajouter tout commentaire dans le champ « Remarques » (J01).
Exemples
PARCS CANADA (WCSC Calgary)
PWNHC
MCC
I03 Objets/Échantillons (non prélevés)*
S’il y a lieu, fournir un aperçu général de la variété d’objets et d’échantillons observés sur le site mais qui n’ont pas été prélevés (cocher autant d’éléments que nécessaire). Indiquer aussi si les objets archéologiques sont présents (observés) ou absents.
J. Commentaires
J01 Remarques
Présenter l’information générale et descriptive sur les structures du site, les activités de recherche, les facteurs qui peuvent avoir influencé l’enregistrement des coordonnées à l’aide d’un appareil GPS, (p. ex., la topographie, l’enregistrement lors d’un survol héliporté, erreur de calcul, etc.). Inscrire toute recommandation dans le champ « Recommandations » (J02).
Exemples
« Impossible de localiser précisément en raison de la densité du couvert forestier. »
« Coordonnées originales enregistrées à l’aide d’un GPS et soumises sous la forme (NAD non précisé) : 643068N 1381457O. »
« Les sites 130X213 (PiPw-20) et 130X214 (PiPw-21) décrits par Webster en 1995 pourraient en réalité n’être qu’un seul site se prolongeant (dans un second sous-espace). »
« L’aire principale du site comprend 3 emplacements de tentes circulaires (Structures 1 à 3). La structure 1 comporte un alignement central de petites pierres plates. Les vestiges lithiques et osseux (apparemment tous d’origine anthropique) ont été observés en surface des structures 1 et 2. »
J02 Recommandations*
Indiquer toute recommandation relative au site ou à ses composantes, en incluant l’inspection, la surveillance et les recherches complémentaires.
Exemple
« La surveillance annuelle est recommandée étant donné que le site est très visible et se trouve dans une aire très achalandée par les visiteurs au cours des mois les plus chauds de l’année. »
K. Référence
K01 Type de documents/ archives*
Cocher autant d’éléments que nécessaire sur la fiche d’inventaire des sites archéologiques. Ce champ porte sur le type de documents ou d’archives se rapportant au site (p. ex., images fixes ou animées, notes de terrain).
K02 Renvoi au carnet de notes de terrain*
Indiquer les pages du carnet de notes de terrain où il est question du site. 2004-7P-1 à 4
K03 Références bibliographiques
Inscrire les références non publiées et les publications qui traitent spécifiquement du site. Il est recommandé d’utiliser le format du Musée canadien des civilisations, tel qu’indiqué ci-dessous.
Pour les références non publiées :
MS000123
ARCHIVES CAC Ms. 2980
Pour les publications :
1955 Collins, H. B. "Dorset Dwellings" SCIENCE Volume 122, No. 3175, 4 nov.
Bibliographie du guide d’utilisation
Musée canadien des civilisations (2004). L’inventaire informatisé des sites archéologiques du Musée canadien des civilisations (Disponible en ligne : http://collections.civilisations.ca/sites/sitwe01f.html. Consulté en ligne en mai 2004).
CIDOC (1998). International Core Data Standard for Archaeological and Architectural Heritage, CIDOC (Comité international pour la documentation, conseil international des musées), Paris.
Fladmark, Knut R. (1978). A Guide to Basic Archaeological Field Procedures, Dept. of Archaeology, Simon Fraser University, Vancouver.
Fry, Bruce (c. 1975). Standardized Symbols: Archaeological Drawings, Extant Recording Section, Indian and Northern Affairs, Ottawa. Manuscrit aux archives, Direction des services archéologiques, Parcs Canada, Ottawa, Gatineau.
Gouvernement du Yukon (2004). Yukon Archaeological Site Form, Department of Tourism and Culture, Cultural Services, Heritage Resources Unit, Whitehorse (Disponible en ligne : http://www.yukonheritage.com/application_forms-archpermit.htm. Consulté en ligne en mai 2004).
Gouvernement du Yukon (2004). Yukon Archaeological Site Form Guide. Department of Tourism and Culture, Cultural Services, Yukon Archaeology Program, Heritage Resources Unit, Whitehorse (Disponible en ligne : http://www.yukonheritage.com/application_forms-archpermit.htm. Consulté en ligne en mai 2004).
Service des parcs nationaux (2003). Guidance on Determining Archaeological Site Condition for ASMIS, note du 18 déc. 2003 de Terry Childs à Jim Molnar, Direction des services archéologiques, Parcs Canada, Ottawa-Gatineau.
Parcs Canada (1994). Principes directeurs et politiques de gestion, Ministère des Approvisionnements et Services, Ottawa.
Parcs Canada (1998). Rapport sur l’état des parcs de 1997, Parcs Canada, Ottawa.
Parcs Canada (2001). Normes liées aux métadonnées. Version préliminaire 1.10, rapport non publié du Groupe d’administration des données et du Groupe de travail des métadonnées géospatiales, Agence Parcs Canada, Ottawa-Gatineau.
Parcs Canada (2003). Report to Parks Canada Agency: Digital Multimedia Asset Management Functional Requirements. Version 2.0, 31 mars 2003, rapport non publié de Sierra Systems pour Parcs Canada, Ottawa-Gatineau.
Parcs Canada (2003). Report to Parks Canada: Digital Multimedia Asset Management (DMAM) System Policy Requirements. Version 2.0, 31 mars 2003. Rapport non publié de Sierra Systems pour Parcs Canada, Ottawa-Gatineau.
Prince of Wales Northern Heritage Centre [PWNHC] (n.d.). Guidelines for Recording Archaeological Site Coordinates with the Global Positioning System (GPS), Northwest Territories Education, Culture and Employment, Prince of Wales Northern Heritage Centre, Yellowknife (Version PDF disponible en ligne : http://pwnhc.learnnet.nt.ca/programs/downloads/NWTGPSStandards.pdf
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Nova Scotia Museum (2004). Maritime Archaeological Resource Inventory, Nova Scotia Museum, Heritage Resource Services, Halifax (Disponible en ligne: http://www.gnb.ca/0131/Archaeology/pdf/mari.pdf Comprend la Nouvelle-Écosse, le Nouveau-Brunswick et l’Île-du-Prince-Édouard. Consulté en ligne en juin 2005).
Swannack, Jervis (1973). Archaeological Excavation Manual, Service des lieux historiques nationaux, Directions des parcs nationaux et historiques, Ministère des Affaires indiennes et du Nord canadien, Ottawa.
Stryd, Arnould H. (2001). Culturally Modified Trees of British Columbia: A Handbook for the Identification of Culturally Modified Trees. Version 2.0, Archaeology Branch, B.C. Ministry of Small Business, Tourism and Culture (Disponible en ligne: http://www.for.gov.bc.ca/hfd/pubs/docs/mr/mr091.htm Consulté en ligne en juin 2005).
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Liens connexes
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