Se rassasier sur le site

Lieux historiques nationaux Fort Rodd Hill et du Phare-de-Fisgard

Avant d’être désignés lieux historiques, le fort Rodd Hill et le phare de Fisgard ont accueilli des soldats, des familles de militaires, des gardiens de phare et leurs aides. Et avant leur arrivée, ce sont les Premières Nations d'Esquimalt et des Songhees qui y vivaient et qui, aujourd'hui encore, habitent la région. Qu'est-ce que toutes ces personnes avaient en commun ? Elles devaient toutes se nourrir ! Chaque arrêt de cette visite vous permettra de découvrir les aliments et les boissons que les gens aimaient (ou du moins toléraient) dans le passé.

Cette visite convient aux visiteurs de tous les âges. Le terrain est plat, pavé et sans escaliers. Le trajet forme une boucle de 1,5 km. On trouve des rampes et des toilettes accessibles aux personnes en fauteuil roulant le long du chemin.

Sneak peek

En mer, les collations étaient une affaire sérieuse !
Photo en noir et blanc du phare de Fisgard dans les années 1920.

Même si le phare de Fisgard est relativement proche de Victoria et d'Esquimalt, il était difficile pour les autorités de coordonner la livraison régulière d'aliments frais au gardien du phare. La route que vous venez d’emprunter n'a été construite que dans les années 1950. La nourriture était livrée par bateau, une fois tous les trois mois. Malheureusement, les denrées périssables étaient souvent avariées lorsqu’elles étaient déchargées au fort. Pas étonnant que de nombreux gardiens aient cultivé des jardins potagers et gardé une chèvre pour son lait et des poules pour les œufs. La présence d'espèces non indigènes autour du phare de Fisgard nous permet d'affirmer que des légumes et des herbes étaient cultivés près des quartiers du gardien du phare. Le dernier gardien, Josiah Gosse, possédait même une ferme de 25 acres qu’il exploitait le jour tout en s’occupant du phare la nuit.

Date de modification :