En l’absence d’incendies naturels

Parc national des Mille-Îles

Nous savons maintenant que l’extinction des incendies dénature un grand nombre d'écosystèmes. En vieillissant, les forêts deviennent de plus en plus denses et fermées. Les habitats ouverts, qui abritent certaines espèces végétales et animales, se font de plus en plus rares. La mosaïque végétale dépérit, entraînant à sa suite la biodiversité qui en dépend. Le problème est d'autant plus grave qu'il frappe non seulement les parcs, mais aussi les terres avoisinantes.

En l’absence d’incendies naturels, nous avons maintenant un appauvrissement de la diversité forestière, une moins grande diversité d’habitats fauniques, des forêts plus vulnérables aux insectes et aux maladies, ainsi qu’un risque accru d’incendies à cause de l’accumulation de combustible.

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