Davantage d'aires marines nationales de conservation pour des environnements, des communautés, et des moyens de subsistance plus sains

Parcs Canada dirige et soutient la création de dix nouvelles aires marines nationales de conservation (AMNC) d’ici 2030. Ces aires contribueront à l’engagement du Canada envers l’objectif international de protéger 30 % des aires marines et côtières d’ici 2030. Cela fait beaucoup de nouvelles AMNC!

Les aires marines nationales de conservation offrent une tonne d’avantages. Elles constituent une combinaison gagnante de milieux marins, de communautés et de moyens de subsistance sains. La création de nouvelles AMNC comporte un certain nombre d'étapes. Le leadership des nations autochtones et le soutien des communautés côtières sont importants pour que la création des AMNC soit une réussite... pour la promotion d’une meilleure santé pour nous, et pour la planète. Regardez cette vidéo pour en savoir plus :

Davantage d'aires marines nationales de conservation pour le bénéfice de tous

 
Transcription textuelle

[Une série de vues aériennes de Gwaii Haanas]

[Texte : Réserve de parc national, réserve d'aire marine nationale de conservation et site du patrimoine haïda Gwaii Haanas]

Voici Gwaii Haanas.

[Une carte illustrée du réseau des aires marines nationales de conservation et des parcs marins apparaît.]

L’endroit fait partie d’un réseau d’aires marines nationales de conservation qui croît rapidement. ou d’AMNC, d’un bout à l’autre du Canada.

[Vues panoramiques de plusieurs végétaux et animaux indigènes de la région de Gwaii Haanas.]

La protection qu’apporte une AMNC fait de Gwaii Haanas un refuge où la biodiversité, les écosystèmes et les gens peuvent prospérer ensemble.

[Un membre du Conseil de la Nation haïda s’adresse à un groupe de touristes.]

Elles protègent aussi les pratiques et ressources culturelles.

[Un membre du Conseil de la Nation haïda sculpte un canot en utilisant des méthodes traditionnelles.]

Ce qui rend ces eaux différentes de certains autres endroits protégés

[Vues panoramiques de Gwaii Haaas.]

c’est qu’elles sont gérées

non seulement par le gouvernement du Canada, mais de concert avec la Nation haïda.

[Un bateau flotte sur l’eau, portant les logos du gouvernement du Canada et de la Nation haïda.]

De plus, les gens ici peuvent continuer à gagner leur vie grâce à des occupations comme la pêche

[Des membres de la Nation haïda discutent. Une personne nettoie un poisson à l’extérieur près de l’eau. Une personne pagaie en canot près de la rive à Gwaii Haanas.]

durable et d’autres activités commerciales à l’intérieur de l’aire de conservation.

[Un phoque s’amuse dans l’eau près d’un banc de poissons.]

La protection de l’AMNC garantit que ces choses aient lieu

de façon à préserver l’équilibre et la santé des écosystèmes.

[Une frise chronologique illustrée apparaît, où on peut lire : « Désignation de Gwaii Haanas en tant que site du patrimoine haïda par la Nation haïda » en 1985. Puis, « Création de la réserve d’aire marine nationale de conservation » en 2010.]

Il est important de savoir que la Nation haïda a été l’intendant de ces terres et de ces eaux depuis des temps immémoriaux. Ils ont désigné Gwaii Haanas en tant que site du patrimoine haïda dans les années 80, et le gouvernement fédéral a ensuite suivi avec la co-création de la réserve d’aire marine nationale de conservation en 2010.

[Du personnel de la conservation des ressources de Parcs Canada et du Conseil de la Nation haïda mène des recherches et font du travail de surveillance à partir d’un bateau à Gwaii Haanas.]

Gwaii Haanas est un exemple de la façon dont tous les ordres de gouvernement peuvent collaborer pour renforcer la protection marine.

[Des poissons nagent parmi les algues. Un membre du personnel de Parcs Canada regarde un iceberg au loin à l’aide de jumelles.]

À Parcs Canada, nous voulons continuer à travailler avec les gens qui ont des liens existants avec les eaux du Canada pour créer plus de ces AMNC.

[Un groupe de gens regarde au-dessus de l’eau à l’aire marine nationale de conservation Tallurutiup Imanga. Des pêcheurs retirent des crabes de pièges à crabes sur un bateau.]

Dix de plus, pour être exact.

[Texte : 10 de plus]

[Diane s’adresse directement à la caméra, debout devant une étendue d’eau.]

[Insigne d’identification : Diane Blanchard, gestionnaire de programme, établissement des aires marines nationales de conservation]

Voici Diane Blanchard, écologiste marine à Parcs Canada. Depuis pluisieurs années, elle travaille assidûment dans les coulisses avec des partenaires communautaires pour établir ces nouvelles AMNC.

[Des images d’animaux sous l’eau apparaissent à l’écran.]

Maintenir des écosystèmes en santé à l’intérieur d’aires marines nationales de conservation, c’est important pour tous. Les océans nous apportent énormément au quotidien. La plus grandepartie de l’oxygène que nous respirons provient des océans. Elle est produite par des microorganismes qu’on appelle du phytoplancton. C’est des mini algues qui flottent à la surface des océans, et une respiration sur deux provient des océans.

[Un crabe marche sur le plancher océanique. Un phoque nage sous l’eau. Un béluga nage sous l’eau.]

Outre leur importance pour les humains en général, les AMNC protègent aussi un habitat important pour plusieurs espèces en péril.

[Un narval illustré nage sous l’eau. Le narval nage à la surface de l’eau et la caméra recule pour révéler deux personnes debout au bord de la glace. L’image d’une personne qui pêche sur la glace apparaît.]

Oui, c’est un narval. Elles appuient aussi les droits ancestraux et les pratiques de récolte traditionnelles, qui constituent des moyens essentiels d’accéder à des sources alimentaires saines et durables et sont essentielles aux cultures autochtones.

[Des pêcheurs manipulent des homards sur un bateau de pêche.]

Voilà seulement certaines des nombreuses raisons pour lesquelles nous travaillons avec des partenaires pour créer plus d’AMNC.

[Un employé de Parcs Canada et des membres de la communauté se font une accolade.]

Je suis vraiment heureux de faire partie de ce projet

[Lawrence s’adresse directement à la caméra.]

[Insigne d’identification : Lawrence Martin, Conseil Mushkegowuk, AMNC proposée dans l’ouest de la baie James et le sud-ouest de la baie d’Hudson]

parce qu’il me permet de rétablir des liens avec le territoire, les eaux de la région où j’ai grandi.

[Images aériennes d’une vaste zone humide. Des gens marchent le long de la rive d’une grande étendue d’eau. Des gens sont debout sur une rive rocailleuse, observant une baleine qui fait surface.]

Le peuple Mushkegowuk a toujours vécu en harmonie avec la Terre et tous les êtres vivants sur Terre, et ils parlent souvent de l’interrelation entre la terre et l’eau. Qu’il n’y a pas de démarcation entre les deux c’est en fait une continuation.

[Des gens sont assis sur une plage, ils retirent de la viande d’un morceau de poisson. Des pêcheurs voguent dans un bateau de pêche et retirent des homards d’une cage.]

Les océans et les Grands Lacs du Canada soutiennent les communautés autochtones et côtières depuis des siècles, et ils continuent d’être extrêmement importants pour les gens qui ont des liens avec ces aires marines.

[De nombreuses personnes d’horizons divers sourient devant la caméra.]

[De l’eau coule dans une chute. Un iceberg est visible dans l’eau. De l’eau cascade le long d’une paroi rocheuse et des personnes debout sous l’eau attrapent de l’eau avec leur langue.]

Nous savons pourquoi protéger les eaux ainsi que les écosystèmes, la biodiversité et les gens qu’ils soutiennent est important. Et c’est particulièrement vrai pour le Canada.

[Une carte illustrée du Canada apparaît. Une ligne pointillée orange apparaît le long de la côte du Canada, soulignant que le Canada a un littoral plus long que tout autre pays au monde.]

En fait, nous avons un littoral plus long que n’importe quel autre pays.

[Une Terre illustrée apparaît, soulignant que le Canada gère 20 % de l’eau douce du monde.]

Nous sommes aussi responsables d’environ 20 % de l’eau douce mondiale. Pas de pression.

[Un graphique illustré apparaît, intitulé « Aire marine et côtière protégée ». Le graphique compare le contraste entre 14 % de l’eau actuellement protégée du Canada et l’objectif du Canada de protéger 30 % de l’eau du Canada d’ici 2030.]

L’objectif du Canada est de protéger 30 % de ses eaux d’ici 2030. Aussi appelé l’objectif 30 d’ici 30. C’est près de trois millions de kilomètres carrés d’eau protégée,

[Trente-six lacs Supérieur illustrés apparaissent, empilés les uns sur les autres.]

ce qui est plus de 36 fois la superficie du lac Supérieur. C’est beaucoup de H2O.

[Vues panoramiques de diverses aires marines nationales de conservation et d’aires marines nationales de conservation proposées. Des enfants courent sur une plage. Des pêcheurs sont debout dans un bateau sur un plan d’eau.]

À Parcs Canada, collaborer avec des gouvernements autochtones et des communautés côtières pour créer de nouvelles aires marines nationales de conservation est notre façon de contribuer à cet objectif.

[Des points oranges apparaissent le long d’un littoral illustré à divers emplacements, indiquant de nouvelles aires marines nationales de conservation à être établies.]

Et comme nous l’avons dit, nous planifions dix nouvelles AMNC. Ce sont des nouvelles très emballantes.

[Un phoque virevolte sous l’eau, sous des algues vertes qui pendent de la surface de l’eau.]

En tout cas, nous sommes emballés.

[Des dauphins nagent le long d’un bateau. Des personnes font du kayak sur un vaste plan d’eau. La queue d’une baleine tape la surface de l’eau.]

Notre objectif est d’avoir une AMNC pour représenter chacune des 29 régions marines uniques du Canada.

[Divers plans d’eau apparaissent à l’écran.]

Ces zones sont triées sur le volet pour mettre en valeur la grande diversité d’habitats marins et d’eau douce qu’offre le Canada,

[Une femmes'accroupit sur une plage avec une mère et son jeune enfant qui visitent le parc.]

ainsi que d’importantes caractéristiques culturelles et historiques.

[Un homme applaudit un ami et ils se font une accolade.]

En intégrant le leadership autochtone dans la création et la gestion des AMNC,

[Une femme regarde la caméra. Des employés de Parcs Canada et des membres de la Nation haïda sont debout à la proue d’un bateau et retirent un piège à crabes de l’eau.]

nous pouvons nous assurer que ce travail s’appuie sur la science occidentale,

[Des phoques sautent hors de l’eau le long d’un bateau.]

le savoir autochtone et d’autres perspectives locales.

[Des images panoramiques de sites de Parcs Canada apparaissent à l’écran. Un bateau de recherche de Parcs Canada se dirige vers l’océan.]

Établir de nouvelles aires marines nationales de conservation nécessite du temps, mais quand tout est en place, ça devient un plan emballant pour un avenir

[De l’eau coule dans une chute.]

où nous travaillons ensemble pour protéger et gérer les eaux du Canada

[Une personne vêtue d’un parka rose vif est debout près du bord d’une étendue glacée, surplombant l’océan.]

d’une manière qui bénéficie à la fois les gens et la planète.

[Une loutre flotte dans l’eau en mangeant un oursin.]

Suivez-nous tout au long de notre parcours en vue d’établir plus d’AMNC en cliquant le lien à l’écran.

[Texte : parcs.canada.ca/amnc-expansion]

[Texte : Images fournies par …]

[Image de marque de Parcs Canada]

Trois kayakistes pagaient dans des eaux bleues et vives.
Kayak de mer à la réserve de parc national, réserve d'aire marine nationale de conservation et site du patrimoine haïda Gwaii Haanas. Photo : Charlotte Houston/Parcs Canada

Lieux côtiers et culturels emblématiques

Le Canada possède le plus long littoral du monde, soit 243 042 kilomètres. Plus d’un quart des Canadiens vivent dans des zones côtières. Il existe d’innombrables façons pour les Canadiens d’utiliser et de profiter des lieux marins et d’eau douce en toute saison.

Le milieu marin est au cœur du bien-être social, culturel et économique des collectivités côtières. Les peuples autochtones prennent soin de ces zones et en tirent leur subsistance depuis des millénaires.

Les aires marines nationales de conservation créent des occasions pour les Canadiens de profiter et d’apprécier leur patrimoine marin naturel et culturel.

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Aires marines nationales de conservation

Parcs Canada a plus de 30 ans d’expérience dans la création d’AMNC marines et d’eau douce. Un leadership autochtone fort ainsi qu’une collaboration étroite avec d’autres partenaires ont été essentiels pour protéger et conserver ces aires.

Ensemble, nous avons protégé et conservé cinq AMNC dans six régions marines uniques dans trois provinces et un territoire. Sept autres sites proposés en sont à différentes phases d’une évaluation de faisabilité pour devenir une AMNC.

Le zonage

Le zonage est un processus de collaboration qui détermine où diverses activités et utilisations sont autorisées dans une AMNC. Toutes les AMNC sont divisées en zones qui permettent des utilisations écologiquement durables des ressources marines. Chaque AMNC a besoin d’au moins une zone qui protège complètement les caractéristiques uniques des écosystèmes marins.

Chaque AMNC a également besoin d’au moins une zone à usage multiple. Ces zones permettent la pratique de différentes activités qui ne compromettent pas la santé de l’écosystème. Le zonage est une caractéristique essentielle des AMNC.

Le dos d’une seule baleine qui nage au loin sous un ciel spectaculaire.
Une baleine dans le parc marin du Saguenay–Saint-Laurent. Photo : Éric Lajeunesse/Parcs Canada
Trois plongeurs sont à moitié immergés dans l’eau à côté d’un rivage rocheux.
Des plongeurs explorent le parc marin du Saguenay–Saint-Laurent. Photo : Éric Lajeunesse/Parcs Canada
Une photo est prise à bord d’un bateau sur l’eau d’un autre bateau se trouvant à proximité.
Bateaux dans le parc marin du Saguenay–Saint-Laurent. Photo : Nicole McFadden/Parcs Canada

À la suite d’observations de groupes de bélugas, le personnel de Parcs Canada a mis en place un zonage dans le parc marin du Saguenay-Saint-Laurent, au Québec, afin d’aider à protéger cette espèce en péril.

Découvrez comment la fermeture d’une zone réduit les perturbations humaines pour les bélugas de l’estuaire du Saint-Laurent :

 
Transcription textuelle

Logo du castor de Parcs Canada

Une carte illustrée vert foncé du Québec montre un point orange au-dessus de la forme vert pâle du parc marin du Saguenay–Saint-Laurent. La carte fait un gros plan pour se concentrer sur la baie Sainte-Marguerite et la rivière Saguenay.

La date « 2016 » est indiquée dans le coin supérieur gauche. Un regroupement dense de lignes vertes et de points bleus apparaît partout dans la rivière Saguenay. Une illustration d’un béluga du Saint-Laurent ainsi qu’une étiquette en dessous indique que ces données représentent « la distribution du béluga et des bateaux avant la fermeture de la zone ». Les points bleus sont regroupés où la baie Sainte-Marguerite se mêle à la rivière Saguenay. Les lignes vertes sont largement réparties dans la rivière Saguenay. Une légende dans le coin supérieur droit explique que chaque point représente « l’observation d’un groupe de bélugas » et que chaque ligne verte représente le « passage d’un bateau ». Un astérisque apparaît au bas de l’écran et le texte explique : « Les passages de bateaux ont été réduits à 10 %. Les données montrent que les passages de bateaux forcent les groupes de bélugas à demeurer concentrés dans une petite zone. »

La date change et indique 2018. Une ligne rouge trace le contour d’où la baie Sainte-Marguerite rejoint la rivière Saguenay. Il s’agit de la même zone où les observations de groupes de bélugas sont concentrées. La ligne rouge indique la fermeture d’une zone qui est interdite au passage des bateaux.

La date change pour indiquer 2022, quatre ans après la fermeture de la zone. Les passages de bateaux sont maintenant plus concentrés sur le côté de la rivière Saguenay à l’opposé de la baie Sainte-Marguerite. Les points bleus représentant les observations de groupes de bélugas sont maintenant davantage répartis dans la rivière Saguenay.

Logo du gouvernement du Canada

Éléments nécessaires à la création de nouvelles AMNC

Il n’y a pas deux AMNC identiques. Chaque AMNC varie en fonction de ceux qui la crée, du lieu où elle est créée et des différents éléments utilisés pour la créer. Bien que chaque AMNC soit unique, il existe des éléments communs qui constituent la base de toutes les AMNC.

Certains des éléments utilisés pour créer de nouvelles AMNC sont les suivants :

Parcs Canada, les nations autochtones et les intervenants clés s’inspirent de ces éléments pour créer de nouvelles AMNC au Canada.

An aerial view of whales swimming at the mouth of an arctic estuary.
Des bélugas à l'AMNC Tallurutiup Imanga. Photo : Mario Cyr/Parcs Canada
Deux femmes sont assises au bord d’une falaise qui surplombe une vue côtière et des îles.
Réserve de parc national, réserve d'aire marine nationale de conservation et site du patrimoine haïda Gwaii Haanas. Photo : Michael Lecchino/Parcs Canada
À bord d’un bateau, un père montre l’eau du doigt tandis que sa fille à côté de lui regarde avec enthousiasme dans cette direction.
Observation de la vie marine. Photo: Éric Lajeunesse/Parcs Canada

Créer des AMNC, c’est construire une meilleure santé

La création de nouvelles AMNC offre des avantages considérables. Passer du temps dans les AMNC peut améliorer notre santé et notre bien-être. Toutes les communautés côtières dépendent de ces zones pour leurs avantages sociaux et économiques. Les zones marines et d’eau douce offrent à chacun :

Les peuples et les communautés autochtones sont particulièrement liés à ces zones. Ils ont des liens de longue date avec les terres et les eaux des AMNC. Ce sont des endroits où les peuples autochtones poursuivent leurs pratiques traditionnelles et culturelles.

La faune marine, comme les baleines, les poissons, les tortues et les oiseaux de mer, dépend d’un approvisionnement alimentaire sain et des habitats présents dans les AMNC. De nombreuses économies qui dépendent des aires marines ne peuvent se maintenir que si l’océan et sa faune sont florissants. La création d’AMNC peut même atténuer les effets des changements climatiques (en anglais seulement).

Une femme portant une longue robe rouge, tenant un tambour à main, se tient sur le rivage tout en regardant dans l’eau.
Une femme Mi'kmaq sur la rive surplombant l’embouchure de la rivière Hillsborough. Lieu historique national de Skmaqn–Port-la-Joye–Fort-Amherst. Photo : Stephen DesRoches/Parcs Canada
Deux parents, leurs trois jeunes enfants et un chien en laisse marchent dans une eau peu profonde.
Journée de plage en famille. Photo : Dale Wilson/Parcs Canada
Quatre personnes à bord d’un bateau de pêche affrété sourient à la caméra. L’un tient une canne à pêche tandis que l’autre tient un poisson.
Une excursion de pêche affrétée dans l’aire marine nationale de conservation du lac Supérieur. Photo : Dale Wilson/Parcs Canada

C’est pourquoi il est si important pour notre santé – et pour la planète – que l’on travaille ensemble pour protéger davantage de ces aires marines. Ce faisant, les générations actuelles et futures pourront continuer à les utiliser, à mieux les comprendre et à en profiter.


La création d'AMNC contribue à la santé de la faune, des communautés, et des moyens de subsistance.


Mesures à prendre dès à présent

Les milieux marins et les Grands Lacs du Canada sont essentiels au maintien de la diversité de la vie marine et des écosystèmes. L’océan, la terre et tous les êtres vivants sont influencés les uns par les autres dans les écosystèmes marins. La santé de l’environnement est le reflet de notre propre santé.

Pourtant, l’état des océans, des lacs et des rivières est en crise. Les changements climatiques, l’utilisation intensive, les polluants et les espèces envahissantes sont quelques-unes des pressions exercées sur la faune et les habitats marins.

Nous devons améliorer la santé de notre planète pour continuer à profiter de ces environnements. Pour ce faire, nous devons protéger et conserver les aires marines et d’eau douce.

Nous devons créer davantage d’AMNC.

Une seule destination—plusieurs façons d’y parvenir

Tous les éléments utilisés pour créer les AMNC sont différents, notamment l’emplacement du site, les partenaires locaux et les utilisateurs marins. Chaque AMNC est donc très unique. Pourtant, toutes les AMNC offrent des avantages communs.

De la santé de la faune marine aux collectivités côtières dynamiques, en passant par les moyens de subsistance durables... les AMNC au Canada sont comme une assise qui contribue à bâtir une meilleure santé pour tous.

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