Aménagement paysager dans le parc national Jasper

Parc national Jasper

Aménagement paysager dans la ville de Jasper

Exemple de cour naturalisée

Le paysage urbain de Jasper est un élément clé du caractère de la ville et contribue à préserver la nature sauvage du parc national qui l’entoure, tout en ayant un impact minimal sur les ressources environnementales et culturelles. Ce paysage urbain comprend également les zones végétalisées (y compris les arbres, arbustes et autres plantes) dans les espaces publics et sur les terrains privés, ainsi que les espaces ouverts naturels dans le lotissement urbain. Bien que ce paysage puisse accueillir une grande variété de végétaux, les espèces indigènes, qui attirent le moins possible la faune et soutiennent les principes d’Intelli-feu, seront prioritaires pour l’aménagement paysager et les projets d’aménagement.

L’entretien de l’aménagement paysager au sein d’une collectivité est bénéfique pour l’environnement et pour la santé et le bien-être des résidents, et crée de beaux espaces dont tous peuvent profiter. Le document Directives en matière de motif architectural pour la ville de Jasper énonce des directives générales, tandis que la Politique d’aménagement du territoire de la ville de Jasper contient des exigences telles que le maintien d’une quantité minimale d’aménagement paysager de finition (végétal) pour chaque zone. L’aménagement paysager, y compris le déblai ou la manipulation du terrain, nécessite un permis d’aménagement de Parcs Canada. Cliquez sur le lien suivant pour en savoir plus sur les exigences en matière d’aménagement paysager de votre zone et pour demander un permis d’aménagement paysager à Parcs Canada.

Les renseignements suivants ont pour but de vous aider à planifier votre projet d’aménagement de finition (végétal) en vue de l’obtention d’un permis ou de vous guider dans le remplacement des espèces végétales existantes par des espèces indigènes appropriées. Si vous prévoyez un projet d’aménagement paysager à l’extérieur de la ville, veuillez consulter la documentation intitulée « Aménagement paysager dans le parc national Jasper ».

Aménagement paysager à l’extérieur de la ville de Jasper

Le paysage de Jasper est un élément important de son caractère, et il est essentiel que les locaux commerciaux et chalets périphériques s’intègrent à la nature sauvage protégée du parc national qui l’entoure en ayant des répercussions minimes sur les ressources environnementales et culturelles. L’écosystème accueillera une grande variété de végétaux, mais les espèces indigènes, qui attirent le moins possible la faune et soutiennent les principes d’Intelli-feu Canada, sont requises dans ces zones particulières. À l’exception des plantations annuelles et des pelouses des terrains de golf, toute végétation nouvelle ou remplacée doit être indigène au parc national.

L’entretien de l’aménagement d’espèces indigènes est bénéfique pour l’environnement et pour la santé et le bien-être des visiteurs, et crée de beaux espaces dont tous peuvent profiter. Les Lignes directrices sur le réaménagement des établissements d’hébergement commercial périphériques et des auberges des parcs nationaux des Rocheuses et le  contiennent des exigences en matière d’aménagement paysager. Tous travaux d’aménagement paysager, y compris l’enlèvement de végétation, le déblai ou la manipulation du terrain, nécessitent un permis d’aménagement de Parcs Canada. Cliquez sur le lien suivant pour en savoir plus sur les exigences en matière d’aménagement paysager et pour demander un permis d’aménagement paysager à Parcs Canada.

Les renseignements suivants sont destinés à vous aider à planifier votre projet d’aménagement paysager de finition (végétal) en vue de l’obtention d’un permis ou à vous guider dans le remplacement des plantations existantes par des espèces appropriées.


Enlèvement de végétation, déblai ou manipulation du terrain

Vous devez obtenir un permis d’aménagement de Parcs Canada  avant de commencer tous travaux d’aménagement paysager. Le déblaiement et la manipulation du terrain (y compris l’abattage d’arbres et l’enlèvement d’arbustes) sont considérés comme des perturbations au paysage terrestre protégé.

Conservation ou abattage d’arbres mûrs

Les arbres mûrs (d'un diamètre d'au moins 20 cm à hauteur de poitrine) jouent un rôle essentiel dans l'écosystème et doivent être préservés, sauf s'ils représentent un risque majeur pour la sécurité incendie ou s’ils attirent la faune. Ils filtrent l’air et l’eau, aident à contrôler les eaux de pluie, protègent du vent, font de l’ombre en été, assurent l’intimité et constituent un habitat faunique essentiel. Si votre arbre mûr doit être abattu lors d’un aménagement ou s’il est considéré comme un danger, vous devrez obtenir un permis d’abattage d’arbres de Parcs Canada. Lorsque des arbres mûrs doivent être abattus, des arbres de remplacement devront être plantés selon un rapport d’au moins 1:1. Chaque situation sera évaluée au cas par cas.

Les nids d’oiseaux sont protégés en tout temps

L’abattage des arbres devrait être réalisé avant ou après la période de nidification des oiseaux. Parcs Canada est tenu, en vertu de la Loi sur les oiseaux migrateurs, de protéger les oiseaux nicheurs du 21 avril au 13 août. Par conséquent, votre demande peut être limitée pendant cette période. Les arbres dangereux (ceux qui présentent un risque pour les biens, les infrastructures ou la sécurité publique) sont évalués par un arboriculteur certifié et peuvent être abattus pendant la période de nidification des oiseaux avec un permis d’abattage d’arbres. On s’attend toutefois à ce que les titulaires de domaines à bail prévoient abattre les arbres en dehors de cette période, sauf en cas d’urgence.

Si vous trouvez un nid actif dans un arbre que vous souhaitez l'abattre, en dehors de la période de nidification des oiseaux, vous devez communiquer avec Parcs Canada : jasperrealtymunicipalservices@pc.gc.ca et vous abstenir d’abattre l’arbre.

Il peut y avoir des circonstances atténuantes où un arbre doit être abattu pendant la période de nidification des oiseaux. Ces circonstances exceptionnelles sont rares, mais peuvent être accordées moyennant des mesures d’atténuation supplémentaires. Au minimum, le demandeur devra faire appel aux services d’un biologiste professionnel agréé et autorisé pour effectuer une inspection complète de l’arbre afin de s’assurer de l’absence d’oiseaux nicheurs. Si aucun n’est trouvé, un permis peut être délivré.

Pour demander un permis d’abattage d’arbres de Parcs Canada, vous devez remplir une demande d’abattage d’arbres auprès de Parcs Canada, comprenant :

  • une demande d’abattage d’arbres de Parcs Canada dûment remplie;
  • les espèces d’arbres et le nombre d’arbres;
  • la raison de l’abattage; si l’arbre est considéré comme dangereux, une évaluation écrite de l’arbre dangereux, effectuée par un évaluateur d’arbres dangereux certifié, avec preuve de sa certification, est requise;
  • des photos des arbres;
  • un plan d'aménagement' dimensionné illustrant l’emplacement des arbres, des structures et des lignes du terrain;
  • le marquage des arbres concernés avec du ruban de signalisation.
Autorisation du titulaire du domaine à bail

Si vous présentez une demande au nom du titulaire du domaine à bail de la propriété, vous devez fournir une copie de la lettre d’autorisation signée par le titulaire du domaine à bail (PDF, 51 Kb).

Demande pour abattre 10 arbres ou moins

Si vous comptez abattre dix arbres ou moins, veuillez remplir le formulaire de demande suivant : Formulaire de demande d’abattage d’arbres (PDF, 516 Kb).

Demande pour abattre plus de 10 arbres

Si vous comptez abattre plus de dix arbres, veuillez remplir le formulaire de demande suivant : Plan d’abattage de plus de 10 arbres (PDF, 518 Kb).

Plan de récolte et d’aménagement paysager

Veuillez noter que si plus de dix arbres sont abattus, un plan de récolte et d’aménagement paysager sera exigé. Votre plan devrait comprendre les éléments suivants, au minimum :

  • une description écrite détaillée de ce qui se trouve sur l'emplacement et du projet proposé;
  • l’indication de toute proposition d’abattage d’arbres;
  • des dessins : a) des conditions actuelles dans la zone de travaux proposée, avec dimensions en unités métriques; b) du projet, avec dimensions en unités métriques;
  • une liste des espèces à planter, avec les noms communs et scientifiques;
  • des renseignements supplémentaires peuvent être requis.

Si l’espace le permet, les entrepreneurs et les titulaires de domaines à bail sont censés remplacer, au minimum, le même nombre d’arbres que ceux qui ont été abattus. Dans certains cas, il se peut qu’ils doivent en replanter davantage. Consultez la liste des espèces végétales approuvées pour la ville de Jasper ci-jointe pour connaître les espèces végétales autorisées.

Une fois le formulaire rempli et les arbres marqués, veuillez renvoyer la demande et les documents d’appui à jasperrealtymunicipalservices@pc.gc.ca. Veuillez prévoir 10 jours ouvrables pour la délivrance d’un permis d’abattage d’arbre.

Si l’abattage d’arbres sur la propriété est lié à un projet d’aménagement

Si l’abattage d’arbres sur la propriété est lié à un projet d’aménagement en cours (dans un rayon de 3 mètres du projet d’aménagement), il n’est pas nécessaire de demander un permis d’abattage d’arbres, car ce dernier sera compris dans votre permis d’aménagement.

Renseignements sur la marche à suivre pour présenter une demande de permis d’aménagement

Directives générales pour la plantation

Étape 1 : Où planter

Suivez les directives relatives aux zones établies par Intelli-feu Canada. L’aménagement paysager immédiatement adjacent aux bâtiments est un facteur essentiel pour déterminer la probabilité qu’un bien soit résilient aux impacts des incendies de forêt.

 
Zones
Zone immédiate (de 0 à 1,5 m du bâtiment)

Aucune plantation d'arbres ou de végétaux ligneux, ni utilisation de paillis, n'est permise dans cette zone.

Zone intermédiaire (de 1,5 à 10 m du bâtiment)

Aucune plantation de conifères dans cette zone. Vous pouvez planter des arbres indigènes feuillus comme le tremble, le peuplier, le peuplier deltoïde et le bouleau. Cette pratique est encouragée.

Aménagez le paysage avec des herbes courtes, des fleurs et des arbustes appropriés, en faible densité. N’utilisez pas de paillis d’écorce ou d’aiguilles de pin dans cette zone, car ils sont hautement inflammables. Le paillis de gravier et le paillis décoratif de pierre concassée réduisent considérablement le risque d’incendie de forêt.

Zone étendue (de 10 à 30 m du bâtiment)

On peut planter dans cette zone aussi bien des conifères que des feuillus. L’espacement est important. Il faut laisser un espace de 3 m entre les conifères adultes, d’une limite du feuillage à l’autre (entre les extrémités des branches extérieures de chaque arbre). Pour ce faire, plantez des gaulis ou des petits arbres à au moins 8 m de distance les uns des autres.

Les arbres feuillus peuvent être plantés plus près les uns des autres (environ 4 m). Là encore, il est préférable de planter des variétés indigènes feuillus plutôt que des conifères. Le paillis de bois n'est pas recommandé.

Plantation près des réseaux de services publics

Si votre terrain dispose d’une emprise de services publics officielle, évitez de planter des arbres ou des arbustes dans cette zone afin de permettre un accès sans entraves pour l’installation ou l’entretien futur des services publics. Les arbres devraient être plantés à un minimum de 5 m de la fosse septique afin d’éviter que les racines endommagent la conduite de service.

Étape 2 : Considérations relatives à la plantation

Aucune plantation d'arbres et d'arbustes

Les arbres et arbustes fruitiers, tels que les pommiers, les pruniers et les amélanchiers, attirent les animaux sauvages – ongulés et ours - créant ainsi des risques pour la faune et des dangers inacceptables pour la sécurité publique. Guidés par leur puissant odorat et leur appétit vorace, les ours peuvent perdre leur timidité quand ils cherchent des sources de nourriture riches en calories. Les ours peuvent grimper aux arbres pour y dérober des fruits en train de mûrir. Ce faisant, ils peuvent casser des branches et pour se procurer une récompense qui les incitera à revenir. Cela peut aussi amener les ours à chercher d’autres sources de nourriture, telles que des ordures ou de la nourriture pour animaux de compagnie – un choix qui pourrait compromettre leur survie.

Plantez des espèces indigènes

Les espèces indigènes peu appétissantes pour la faune sont préférables pour les projets dans les zones de forte affluence humaine. Les plantes non indigènes envahissantes représentent une grave menace écologique pour les communautés végétales et animales indigènes. Elles se propagent vite en l’absence de maladies et d’insectese prédateurs naturels. De plus, ces plantes délogent les espèces végétales indigènes qui stabilisent les sols et qui procurent nourriture et abri à la faune. Les jardins résidentiels et les aires paysagères servent de points d’entrée à de nombreuses plantes non indigènes envahissantes. Le moyen le plus efficace de lutter contre les plantes non indigènes consiste à les empêcher de s’établir.

Les jardins potagers sont autorisés, mais les espèces envahissantes qui se propagent (comme la menthe et la ciboulette) doivent être cultivées en pots plutôt que dans des plates-bandes. Étant donné que les légumes peuvent également attirer les animaux sauvages, il est requis d’installer des clôtures ou des enceintes grillagées.

À l’extérieur de la ville de Jasper

Les espèces indigènes peu appétissantes pour la faune devraient être utilisées pour les projets dans les zones à forte affluence humaine. Les plantes non indigènes représentent une grave menace pour les communautés végétales et animales indigènes. Elles se propagent vite en l’absence de maladies et de prédateurs naturels. De plus, ces plantes délogent les espèces végétales indigènes qui stabilisent les sols et qui procurent nourriture et abri à la faune. Les jardins résidentiels et les aires paysagères servent de points d’entrée à de nombreuses plantes non indigènes. Le moyen le plus efficace de lutter contre les plantes non indigènes consiste à les empêcher de s’établir.

Certaines plantes annuelles communes, non envahissantes, peuvent être plantées dans les paniers et les bacs à fleurs. Ces plantes attireront les abeilles et les papillons, mais la plupart seront également appétissantes pour les wapitis et les cerfs. Les plantes annuelles peuvent inclure :

  • Bégonias
  • Pétunias
  • Impatientess
  • Géraniums
  • Soucis (non appétissants pour les wapitis et les cerfs)
  • Calibrachoas (Million Bells)
  • Agérates
  • Pervenches
  • Pentas
  • Pourpiers
  • Sauges
Optez pour des espèces à faible risque d’incendie

Une végétation peu inflammable est requise pour toutes les zones adjacentes aux installations ou aux infrastructures. La liste de plantes ci-dessous comprend peu de conifères, en raison de leur indice d’inflammabilité élevé. En effet, les conifères présentent un risque d’incendie accru pour les bâtiments et les infrastructures.

Feuillus

Les feuillus caduques sont attrayants pour les ongulés (wapitis et cerfs). Après la plantation, ces arbres doivent être protégés par des cages ou un treillis d’écorce et souvent par des piquets jusqu’à ce qu’ils soient suffisamment mûrs et établis pour résister au broutage des ongulés. Cela prend généralement de trois à cinq ans, selon l’espèce, l’âge et la fréquence du broutage par les ongulés.

Étape 3 : Ce qu’il faut planter

Dans la mesure du possible, ces plantes devraient provenir de sources locales afin de réduire le risque d'introduction de variétés non indigènes. Toutes les espèces répertoriées sont désormais disponibles, ou le seront bientôt, à partir de sources en Alberta, sous forme de graines ou de plantes. Elles sont considérées comme non envahissantes et ne présentent pas de risque élevé de mortalité due aux maladies.

Les arbres feuillus, en particulier le peuplier faux-tremble (Populus tremuloides), connaissent un déclin dans le parc en raison du broutage par les ongulés. Nous encourageons les titulaires de domaines à bail à planter ces arbres dans leur jardin. De même, le douglas vert (Pseudotsuga menziesii) est le conifère à privilégier pour la plantation, en raison de sa nature résistante au feu.

Arbres et arbustes permis pour l’aménagement paysager dans la ville de Jasper

La présente liste décrit des espèces végétales qui poussent naturellement dans le parc national Jasper et dans la région et qui risquent peu de causer des problèmes écologiques par la pollinisation croisée avec des plantes indigènes ou par une propagation dans le milieu naturel. Les espèces végétales à privilégier sont celles qui poussent naturellement dans le parc national Jasper. Certaines espèces non indigènes qui ne sont pas envahissantes, qui portent des fruits et qui sont peu inflammables peuvent également être acceptables. Si vous n’êtes pas sûr qu’une espèce soit envahissante, veuillez communiquer avec jasperdevelopment@pc.gc.ca pour vérification. De plus, le site Web www.abinvasives.ca (en anglais seulement) fournit une liste à jour des espèces envahissantes en Alberta et peut être une ressource utile.

Liste des plantations de la ville de Jasper
Liste des plantations de la ville de Jasper - Arbres
Nom commun Nom scientifique Hauteur maximale générale Conditions du site

Feuillus

Peuplier baumier Populus balsamifera 25 m Sites humides, ouverts ou partiellement ombragés
Bouleau à papier Betula papyrifera 30 m Intolérant à l’ombre, sites sableux/silteux bien drainés
Bouleau fontinal Betula occidentalis 25 m
Peuplier faux-tremble Populus tremuloides 30 m Sites humides et secs, ensoleillés, forêt à couvert ouvert
Érable Acer spp. 30 m Sols humides, certaines espèces d'érable ne conviennent pas
Pommetier « Spring Snow » Malus « Spring Snow » 20 m Sans fruit

Conifères*

Sapin subalpin Abies lasiocarpa
Sapin baumier Abies balsamea 25 m Sites humides, partiellement à l’ombre
Pin gris Pinus banksiana 25 m Pin indigène de l’Alberta – non indigène à Jasper
Pin flexible Pinus flexilis 15 m Pin indigène de l’Alberta à croissance lente – non indigène à Jasper
Pin tordu latifolié Pinus contorta var. latifolia 30 m Sites humides et secs, ensoleillés, forêt à couvert ouvert
Douglas bleu Pseudotsuga menziesii glauca 40 m Sites humides et secs, ensoleillés, forêt à couvert ouvert
Mélèze laricin Larix laricina 20 m Sites humides, avec un mauvais drainage
Pruche de l’Ouest Tsuga heterophylla 40 m Sites humides, à l’ombre ou partiellement à l’ombre
Thuya géant Thuja plicata 40 m Sites frais, humides et ombragés
If de l’Ouest Taxus brevifolia 5 à 15 m Sites humides et abrités
Épinette blanche Picea glauca 40 m Sites humides à mouillés, forêt clairsemée ou dense
Pin à écorce blanche Pinus albicaulis 20 m Pin indigène de l’Alberta à croissance lente – espèce en voie de disparition

* Sa distance minimale des bâtiments devrait être de 10 m

Symbole gris Le plus acceptable

Symbole blanc Acceptable

 
Liste des plantations de la ville de Jasper - Arbustes
Nom commun Nom scientifique Conditions du site

Arbustes feuillus

Saule arctique Salix arctica
Saule de Bebb Salix bebbiana
Bouleau glanduleux Betula glandulosa Sites humides et secs, adaptables
Symphorine de l’Ouest Symphoricarpos occidentalis Bonne couverture végétale haute
Lilas commun Syringa vulgaris Nombreux cultivars sur le marché
Rosier de Woods Rosa woodsii (floraison plus tardive)
Aulne crispé Alnus crispa
Spirée à feuilles de bouleau Spiraea betulifolia Préfère un couvert forestier, pas très vigoureux
Aulne à feuilles minces ou aulne ténuifolié Alnus tenuifolia Préfère les sols humides
Rosier aciculaire Rosa acicularis (floraison plus précoce) La plupart des rosiers arbustifs du marché sont des variétés non indigènes
Saule discolore Salix discolor
Cornouiller stolonifère Cornus stolonifera Préfère les sols humides
Potentille frutescente Potentilla fruticosa Nombreux cultivars sur le marché
Saule glauque Salix glauca
Symphorine blanche Symphoricarpos albus
Chalef argenté Elaeagnus commutata

Arbustes à feuilles persistantes

Genévrier horizontal Juniperus horizontalis Non recommandé à moins de 10 m de structures inflammables en raison des risques d’incendie. Bon pour les sites secs et exposés.
Raisin d’ours ou busserole Arctostaphylos uva-ursi Bonne couverture végétale. Pas plus de 10 plantes/site

Symbole gris Le plus acceptable

Symbole blanc Acceptable

 
 
Liste de plantations de la ville de Jasper - Herbes et fleurs sauvages
Nom common Nom scientifique Conditions du site
Aster alpin ou aster des montagnes Aster alpinus Plein soleil à partiellement ombragé
Sol sec (ne pousse pas bien dans des sites humides)
Floraison : Juin à juillet
Sainfoin alpin Hedysarum alpinum Plein soleil à partiellement ombragé
Préfère les sols plus secs, peut pousser dans les sols rocailleux
Floraison : de fin mai à août
Oxytrope de Cusick Oxytropis campestris var.cusickii Préfère le plein soleil
Sols bien drainés (sols avec du sable)
Floraison : Fin mai à août
Gaillarde aristée Gaillardia aristata Plein soleil (peut supporter la chaleur)
Sol moyennement sec à sec et bien drainé
Floraison : Fin mai à septembre
Campanule à feuilles rondes Campanula rotundifolia Plein soleil à partiellement ombragé
Sols secs et bien drainés
Floraison : Juin à août
Bermudienne montagnarde Sisyrinchium montanum Plein soleil
Sols moyennement humides à humides
Floraison : Fin avril à juillet
Épilobe à feuilles larges Chamerion latifolium Préfère les sites en plein soleil à partiellement ombragés
Sol bien drainé et riche en matières organiques
Floraison : Juillet à août
Verge d'or du Canada Solidago canadensis Plein soleil
Sol bien drainé, teneur en matière organique modérément élevée
Floraison : Juin à août
Achillée millefeuille Achillea millefolium Plein soleil et sols bien drainés
Bon pour le xéropaysagisme
N'a pas besoin d'une grande quantité d'eau
Floraison : Mai à septembre
Érigéron composé Erigeron compositus Plein soleil
Sols bien drainés, mais s’adapte à la plupart des conditions de sol
Floraison : Mai à juillet
Heuchère « Pluie de feu » Heuchera brizoides Plein soleil à partiellement ombragé
Sols moyennement humides et bien drainés
Floraison : Mai à août
Arnica douce Arnica mollis Ensoleillement partiel
Préfère les sols sablonneux/limoneux
Ne pousse pas dans les sols argileux
Floraison : Juin à août
Ancolie gracieuse Aquilegia formosa Plein soleil à partiellement ombragé
Sols moyennement humides et bien drainés
Floraison : Juin à début août
Anémone multifide Anemone multifida Plein soleil à partiellement ombragé
Sols humides, bien drainés
Floraison : Fin juillet à août
Hémérocalle Hemerocallis hybrida Partiellement ombragé à plein soleil
Sols bien drainés à teneur moyenne en matière organique
Floraison : Fin juin à août
Violette à éperon crochu (violette des sables) Viola adunca Partiellement ombragé à plein soleil
Sols modérément secs à humides
Floraison : Mai à juin
Oxytropis soyeux Oxytropis sericea Plein soleil
Sol sec, peut pousser dans un sol graveleux
Floraison : Fin mai à juillet
Ibéris toujours vert Iberis sempervirens Préfère le plein soleil, tolère un peu d'ombre
Sols bien drainés (sableux)
Floraison : Mai à juillet
Smilacine à grappes (maïanthème à grappes) Smilacina racemosa Partiellement ou totalement ombragé
Pousse de préférence dans un sol moyennement humide à humide, bien drainé
Floraison : Juin à juillet
Épilobe à feuilles étroites Chamaenerion angustifolium Plein soleil, humide
Sol bien drainé (peut être difficile à cultiver à la maison)
Floraison : Juin à septembre
Phlox paniculé Phlox paniculata Plein soleil à partiellement ombragé
Sols humides, bien drainés
Floraison : Juillet à septembre
Corydale dorée Corydalis aurea Partiellement ombragé
Sols humides, bien drainés
Floraison : Mai à juillet
Potentille gracieuse Potentilla gracilis Plein soleil
Sols humides, mais bien drainés
Très bonne résistance à l'hiver
Floraison : Juin à juillet
Oxytrope montagnard Oxytropis monticola Plein soleil
Sols secs, bien drainés
Floraison : Juin à août
Aster de Lindley Aster ciliolatum Partiellement ombragé
Sols humides, bien drainés
Floraison : Août à fin septembre
Gaillet boréal Galium boreale Partiellement ombragé
Sols moyennement secs à moyennement humides
Floraison : Juin à août
Sweetvetch Hedysarum boreale Full sun
Well drained loamy soils
Blooms: June to late July
Sainfoin boréal Hedysarum boreale Plein soleil
Sols limoneux bien drainés
Floraison : Juin à fin juillet
Benoîte à trois fleurs Geum triflorum Plein soleil
Sol plus sec. Pousse bien avec le lin de Lewis
Floraison : Fin mai à début août
Armoise douce Artemisia frigida Plein soleil
Sols secs et bien drainés
Tolère la chaleur
Floraison : Juillet à septembre
Immortelle blanche (anaphale marguerite) Anaphalis margaritacea Plein soleil à partiellement ombragé
Sols modérément drainés
Floraison : Fin juillet à août
Anémone de prairie Pulsatilla patens Plein soleil
Sols sableux, bien drainés
Floraison : Mai à début juillet
Séneçon blanchâtre Senecio canus Ensoleillement partiel à complet
Sol sec (faible besoin en eau)
Floraison : Mai à août
Armoise de l'Ouest Artemisia ludoviciana Plein soleil
Sols secs et bien drainés (pousse mal dans les sols argileux)
Floraison : Fin juillet à septembre
Antennaire à petites feuilles Antennaria parvifolia Plein soleil
Sols secs et bien drainés (pousse mal dans les sols argileux)
Floraison : Fin juillet à septembre
Antennaire à petites feuilles Antennaria parvifolia Plein soleil ou partiellement ombragé
Sol limoneux ou argileux, pousse mal dans les sols sableux
Floraison : Mai à juin
Verge d'or à rayons nombreux Solidago spathulata Partiellement ombragé
Sol à humidité modérée (ni trop humide, ni trop sec)
Floraison : Juin à septembre
Arnica orangée (arnica brillante) Arnica fulgens Partiellement ombragé à ensoleillé
Sol humide
Floraison : Fin juin à fin juillet
Gyroselle Dodecatheon pulchellum Ensoleillement partiel à complet
Sols riches en matière organique et bien drainés
Floraison : Fin mai à juillet
Aster remarquable Aster conspicuus Partiellement ombragé à plein soleil
Sols secs à humides
Floraison : Juillet à octobre
Oxytrope voyant (oxytrope brillant) Oxytropis splendens Plein soleil
Sol bien drainé à sec
Plante rustique (idéale pour les jardins de rocailles et les jardins ensoleillés)
Floraison : Fin juin à septembre
Penstémon élancé Penstemon procerus Ensoleillement partiel à complet
Sol sec
Se trouve souvent naturellement sur des berges sablonneuses ou des sols graveleux
Floraison : Juin à août
Vergerette glabre Erigeron glabellus Plein soleil
Sols bien drainés à humides
Floraison : Juin à août
Smilacine étoilée Smilacina stellata Ensoleillement partiel
Sols légèrement secs à humides
Floraison : Fin mai à juillet
Pied-d'alouette glauque Delphinium glaucum Sites ombragés à ensoleillés
Sols humides à très humides
Floraison : juillet à août
Vergerette cespiteuse Erigeron caespitosus Plein soleil
Sols secs à bien drainés
Floraison : Juillet à août
Linnée boréale Linnaea borealis Ombrage partiel à complet.
Préfère un sol frais et humide
Nécessite un bon drainage, mais ne tolère pas la sécheresse
Floraison : Fin mai à juillet
Pigamon veiné Thalictrum venulosum Partiellement ombragé à ensoleillé
Sols humides, bien drainés
Floraison : Mai à août
Zigadène élégant Zigadenus elegans Ensoleillé ou partiellement ombragé
Tolère la plupart des types de sols
Floraison : Juin à août
Dryade à huit pétales Dryas octopetala Partiellement ombragé à plein soleil
Sol sec, peut pousser dans un sol graveleux Grande tolérance à la sécheresse
Floraison : Juin à août
Monarde fistuleuse Monarda fistulosa Plein soleil
Sol humide riche en matière organique
Tolère assez bien la chaleur et la sécheresse
Floraison : Juillet à début septembre
Lin de Lewis Linum lewisii Partiellement ombragé à plein soleil
Sol moyennement humide et bien drainé. Tolère bien la chaleur, peut pousser dans des conditions chaudes et sèches
Floraison : Juin à mi-août
Maïanthème du Canada Maianthemum canadense Partiellement ombragé
Sols humides et riches en matière organique
Floraison : Fin mai à juillet
Menthe des champs Mentha arvensis Partiellement ombragé à plein soleil
Tolère la plupart des types de sols (peut pousser dans des sols sablonneux et argileux)
Floraison : Juillet à septembre
Géranium de Richardson Geranium richardsonii Partiellement ombragé à plein soleil
Sols humides, bien drainés
Floraison : Mai à octobre
Ancolie jaune Aquilegia flavescens Partiellement ombragé
Sol humide
Pousse mieux dans des conditions semblables à celles des environnements en haute altitude
Floraison : Juin à août
Dryade de Drummond Dryas drummondii Partiellement ensoleillé, mais tolère l’ombre. Sols secs, tolère la sécheresse.
Cette espèce est fixatrice d'azote, ce qui lui permet de prospérer même dans des sols pauvres en azote.
Floraison : Mai à juillet

Grey symbol Le plus acceptable

White symbol Acceptable

Liste de plantation au parc national Jasper : Non urbain
Liste de plantation au parc national Jasper : Non urbain - Arbres
Nom commun Nom scientifique Hauteur maximale générale Risque lié à Intelli-feu Conditions du site

Feuillus

Peuplier baumier Populus balsamifera 25 m Très faible Sites humides, ouverts ou partiellement à l’ombre
Bouleau à papier Betula papyrifera 30 m Très faible Shade intolerant, well drained sandy/silty sites
Peuplier faux-tremble Populus tremuloides 30 m Très faible Sites humides et secs, ensoleillés, forêt claire

Conifères*

Sapin subalpin Abies lasiocarpa Élevé
Pin tordu latifolié Pinus contorta latifolia 30 m Élevé Sites humides et secs, ensoleillés, forêt claire
Douglas bleu Pseudotsuga menziesii glauca 40 m Moyen Sites humides et secs, ensoleillés, forêt claire
Épinette blanche Picea glauca 40 m Élevé Sites humides à mouillés, forêt claire ou dense
Pin à écorce blanche Pinus albicaulis 20 m Élevé Pin indigène de l’Alberta à croissance lente – espèce en voie de disparition

*Leur distance minimale des bâtiments devrait être de 10 m.

Symbole gris Validé

Symbole blanc Acceptable pour la plantation

 
Liste de plantation au parc national Jasper : Non urbain - Arbustes
Nom commun Nom scientifique Attire les ours ou les ongulés Risque lié à Intelli-feu Conditions du site

Arbustes feuillus

Saule arctique Salix arctica Très faible
Saule de Bebb Salix bebbiana Broutage Très faible
Bouleau glanduleux Betula glandulosa Faible Sites humides et secs, adaptables
Symphorine de l’Ouest Symphoricarpos occidentalis Faible Bonne couverture végétale haute
Shépherdie du Canada Shepherdia canadensis Faible Attrait mineur pour les ours - pas plus de 10 plantes/site
Rosier de Woods Rosa woodsii (floraison plus tardive) Faible
Aulne crispé Alnus crispa Très faible
Spirée à feuilles de bouleau Spiraea betulifolia Faible Préfère le couvert, pas très vigoureux
Aulne à feuilles minces ou aulne ténuifolié Alnus tenuifolia Très faible Préfère les sols humidess
Rosier aciculaire Rosa acicularis (floraison plus précoce) Faible La plupart des rosiers arbustifs du marché sont des variétés non indigènes
Saule discolore Salix discolor Broutage Très faible
Cornouiller stolonifère Cornus stolonifera Broutage Faible Préfère les sols humides
Potentille frutescente Potentilla fruticosa Faible Nombreux cultivars sur le marché
Saule glauque Salix glauca Broutage Très faible
Symphorine blanche Symphoricarpos albus Faible
Chalef argenté Elaeagnus commutata Faible

Arbustes à feuilles persistantes

Genévrier horizontal Juniperus horizontalis Jardin adapté à la sécheresse Non recommandé à moins de 10 m de structures inflammables. Bon pour les sites secs et exposés.
Raisin d’ours ou busserole Arctostaphylos uva-ursi Attrait mineur pour les ours Jardin adapté à la sécheresse Bonne couverture végétale pas plus de 10 plantes/site

Symbole gris Validé

Symbole blanc Acceptable pour la plantation

 
Liste de plantation au parc national Jasper : Non urbain - Graminées
Nom commune Nom scientifique Attire les ours ou les ongulés Conditions du site
Pâturin alpin Poa alpina Moyen
Élyme aristé Agropyron subsecundum Moyen
Élyme à glumes larges Agropyron violaceum Moyen
Pâturin des marais Poa palustris Moyen
Brome cilié Bromus ciliatus Moyen
Pâturin glauque Poa glauca Moyen
Élyme innovant Elymus innovatus Moyen
Koelérie à crêtes Koeleria cristata Moyen
Élyme psammophile Agropyron dasystichum Moyen
Calamagrostide du Montana Calamagrostis montanensis Moyen N’acceptera pas le B. inermis, apparenté, mais non indigène, comme substitut
Fétuque de Hall Festuca hallii
Brome de Pumpelly Bromus pumpellianus
Stipe de Richardson Stipa richardsonii Dominante commune du sous-étage dans les forêts de pin tordu latifolié
Fétuque des Rocheuses Festuca saximontana Moyen
Pâturin de Sandberg Poa secunda Moyen
Élyme à chaumes rudes Agropyon trachycaulum
Trisète à épi Trisetum spicatum Moyen
Avoine de Hooker Helictotrichon hookeri Moyen
Élyme lancéolé Agropyron riparium Moyen
Agrostide scabre Agrostis scabra Moyen
Deschampsie cespiteuse Deschampsia caespitosa
Agropyre de l’Ouest Agropyron smithii Moyen

Symbole gris Validé

Symbole blanc Acceptable pour la plantation

All of the above grasses are highly suitable for naturalized or low-use reclamation areas with infrequent or no mowing. Plant with Oxytropis or Astragalus.

Generally low flammability except when dry. Relatively low risk unless tall grass is adjacent to other flammable materials (eg: conifers, woodpiles, built structures).

The above native grasses are not suited for high maintenance, regularly-mowed turf. Green turf areas should be minimized in JNP due to elk attraction and high maintenance requirements which can lead to demand for cosmetic herbicide.

Là où les aires de loisirs publiques très passantes doivent être tapissées de gazon, il peut être acceptable de recourir à des mélanges non indigènes de pâturin des prés et de fétuque rouge traçante de haute qualité comme les suivants :

  • De 60 % à 70 % de cultivars d’élite de pâturin des prés
  • De 20 à 30 % de fétuque rouge traçante « boréale »
  • De 10 à 15 % de cultivars d’ivraie vivace pour gazon
 
Liste de plantation au parc national Jasper : Non urbain - Fleurs sauvages
Nom commun Nom scientifique Attire les ours ou les ongulés Conditions du site
Aster alpin Aster alpinus Faible Cultivars améliorés accessibles sur le marché
Sainfoin alpin Hedysarum alpinum Faible
Oxytrope de Cusick Oxytropis cusickii Faible
Astragale alpin Astragalus alpinus Faible
Astragale d’Amérique Astragalus americanus Faible
Gaillarde aristée Gaillardia aristata Faible Très voyante
Campanule à feuilles rondes Campanula rotundifolia Faible
Bermudienne montagnarde Sisyrinchium montanum Faible
Épilobe à feuilles larges Epilobium latifolium Faible
Quatre-temps Cornus canadensis Faible Aime les sols humides et riches en humus
Verge d’or du Canada Solidago canadensis Moyen
Achillée millefeuille Achillea millefolium Faible L’espèce étant envahissante, l’utilisation de cultivars non blancs n’est pas recommandée
Vergerette à feuilles segmentées Erigeron compositus Faible
Heuchère Heuchera brizoides Faible Nombreux cultivars
Arnica douce Arnica mollis Faible
Berce laineuse Heracleum lanatum Faible Préfère les sols humides et riches
Phlox mousse Phlox subulata Faible Nombreux cultivars, couvre-sol
Ancolie gracieuse Aquilegia formosa Faible
Anémone multifide Anemone multifida Faible
Hémérocalle Hemerocallis hybrida Faible Nombreux cultivars accessibles sur le marché
Violette à éperon crochu Viola adunca Faible
Oxytrope hâtif Oxytropis sericea Faible
Ibéris toujours vert Iberis sempervirens Faible
Smilacine à grappes Smilacina racemosa Faible Bon couvre-sol
Épilobe à feuilles étroites Epilobium angustifolium Faible Se propage par les graines et les rhizomess
Phlox paniculé Phlox paniculata Faible Nombreux cultivars, parfum fort
Corydale dorée Corydalis aurear Faible
Potentille grêle Potentilla gracilis Faible
Oxytrope jaune hâtif Oxytropis monticola Faible
Aster de Lindley Aster ciliolatus Faible
Gaillet boréal Galium boreale Moyen
Sainfoin boréal Hedysarum boreale Faible
Benoîte à trois fleurs Geum triflorum Faible L’apparence est bonne toute la saison
Armoise douce Artemisia frigida Faible
Immortelle blanche Anaphalis margaritacea Faible
Pulsatille multifide Anemone patens Faible
Séneçon blanchâtre Senecio canus Faible
Armoise de l’Ouest Artemisia ludoviciana Faible
Antennaire à petites feuilles Antennaria parvifolia Faible
Castilléjie rougeâtre Castilleja miniata Faible Difficile à cultiver
Oxytrope à fruits retombants Oxytropis deflexiai Faible
Verge d’or glutineuse Solidago spathulata Moyen
Arnica orangée Arnica fulgens Faible
Gyroselle pauciflorer Dodecatheon pulchellum Faible
Aster remarquable Aster conspicuus Faible
Oxytrope voyant Oxytropis splendens Faible Magnifique tout l’été
Penstémon élancé Pentstemon procerus Faible
Vergerette glabre Erigeron glabellus Faible
Aster lisse Aster laevis Faible
Smilacine étoilée Smilacina stellata Faible Bon couvre-sol
Pied-d’alouette glauque Delphinium glaucum Faible Nécessite un tuteur ou un site protégé
Vergerette cespiteuse Erigeron caespitosus Faible
Linnée boréale Linnaea borealis Faible Couvre-sol bas
Pigamon veiné Thalictrum venulosum Faible
Zigadène glauquee Zigadenus elegans Faible
Dryade à huit pétales Dryas octopetala Faible Espèces pionnières
Monarde fistuleuse Monarda fistulosa Faible Espèces indigènes de l’Alberta; non indigènes à Jasper
Lin de Lewis Linum lewisii Faible
Maïanthème du Canada Maianthemum canadense Faible
Menthe des champs Mentha arvensis Faible
Fraisier des champs Fragaria virginiana Faible
Géranium de Richardson Geranium richardsonii Faible
Ancolie jaune Aquilegia flavescens Faible
Dryade de Drummond Dryas drummondii Faible Espèces pionnières
Castilléjie de l’Ouest Castilleja occidentalis Faible Difficile à cultiver

Symbole gris Validé

Symbole blanc Acceptable pour la plantation

Foire aux questions
1. Une fois la construction terminée, il n’y aura plus assez d’espace pour planter suffisamment d’arbres afin de respecter le rapport minimum de 1:1. Quelles sont les options possibles?
  • En priorité, plantez autant d’arbres que possible dans la zone perturbée, en suivant les directives fournies.
  • Discutez avec Parcs Canada des possibilités de replanter des arbres ailleurs dans le parc.
  • Les arbres indigènes, comme le douglas vert et les arbres feuillus (tremble, peuplier, bouleau) sont les espèces requises pour la replantation.
  • En fonction des espèces d’arbres abattues sur le site de construction, il peut vous être demandé de planter un plus grand nombre d’arbres que ceux qui ont été abattus. Cette décision prend en compte la capacité de survie estimée entre la plantation et la maturité de l’arbre.
Puis-je planter un arbre, un arbuste ou une espèce de fleur qui ne figure pas sur la liste?

Les espèces ne figurant pas sur la liste approuvée ne sont pas explicitement autorisées et doivent être approuvées avant d’être plantées. Toutefois, certaines espèces non envahissantes et non indigènes peuvent aussi être appropriées, en particulier dans les zones où la végétation indigène ne prospère pas. Les jardins résidentiels et les aires paysagères servent de points d’entrée à de nombreuses plantes envahissantes. Le moyen le plus efficace de contrôler la propagation des plantes envahissantes est d’empêcher leur implantation, en particulier dans les endroits bordant les aires de nature sauvage. Si vous voulez vraiment participer à la conservation, plantez des espèces indigènes.

Comment puis-je savoir si une plante est envahissante?

Consultez le site Web de l'Alberta Invasive Species Council (en anglais seulement) pour obtenir la liste la plus à jour des espèces végétales envahissantes en Alberta. Elles sont nombreuses! Les espèces de plantes envahissantes les plus communes à l’intérieur et autour de la ville de Jasper sont notamment les suivantes :

Marguerite blanche
Marguerite blanche (Chrysanthemum leucanthemum)
Clématite tangoute
Clématite tangoute (Clematis tangutica)
Linaire à feuilles larges
Linaire à feuilles larges (Linaria dalmatica)
Matricaire inodore
Matricaire inodore (Matricaria perforate)
 Épervière des prés
Épervière des prés (Hieracium pretense)
Renoncule âcre
Renoncule âcre (Ranunculus acris)
J’aimerais utiliser des copeaux de bois. Est-ce une bonne idée?

Intelli-feu Canada recommande que les copeaux de bois ne soient pas utilisés.

Lorsque vous aménagez le terrain à proximité de votre bâtiment, pensez à utiliser du paillis de gravier, du paillis de pierres ou une combinaison de paillis de plantes et de paillis de pierres décoratives pour réduire le risque.

J’aimerais semer une pelouse. Quel mélange de semence devrais-je utiliser?

Le parc national Jasper encourage l’abandon des pelouses classiques au profit d’un environnement plus naturel (comme les jardins de rocailles avec des herbes et des fleurs sauvages indigènes). Cette approche s’intègre parfaitement au paysage environnant, respecte les directives Intelli-Feu, nécessite peu d’entretien, dissuade les animaux sauvages de pénétrer dans la cour pour se nourrir, et offre un habitat aux oiseaux, aux abeilles et aux papillons.

Dans la ville de Jasper
Exemple de pelouse traditionnelle
Exemple de pelouse traditionnelle
Exemple de cour naturalisée
Exemple de cour naturalisée, utilisant des plantes indigènes, de la roche et du gravier.

Là où les aires de loisirs publiques très passantes doivent être tapissées de gazon, il peut être acceptable de recourir à des mélanges non indigènes de pâturin des prés et de fétuque rouge traçante de haute qualité tels que les suivants :

  • De 60 à 70 % de cultivars d’élite de pâturin des prés
  • De 20 à 30 % de fétuque rouge traçante « boréale »
  • De 10 à 15 % de cultivars d’ivraie vivace pour gazon
À l’extérieur de la ville de Jasper

Choisissez parmi les espèces d’herbes proposées et combinez au moins trois herbes différentes dans votre mélange.

Puis-je poser du gazon synthétique dans ma cour?

La réponse courte est « non ». Voici pourquoi…

Il y a quelques arguments « faibles » en faveur du gazon artificiel :

  • Il n’est pas nécessaire de le tondre.
  • Vu de loin, il a belle apparence.
  • Il ne nécessite aucun arrosage, ce qui donne lieu à des économies.

Voici les arguments contre le gazon artificiel :

  • La plupart des pelouses artificielles sont faites de plastique polyéthylène, un produit à base de pétrole. Elles doivent être remplacées tous les 15 ans en moyenne et créent une empreinte carbone énorme. Certains plastiques qui entrent dans la fabrication du gazon artificiel ne sont pas recyclables. Nous n’avons pas besoin de plus de plastique dans notre environnement.
  • Le sol sous-jacent sera pollué pendant des années à venir
  • Le gazon artificiel peut être toxique pour l’environnement et la faune.
  • Le gazon artificiel ne peut ni absorber ni filtrer l’eau et ne présente aucun avantage sur le plan hydrologique.

Les graminées et les autres plantes indigènes n’ont besoin que de faibles quantités d’eau et procurent d’énormes bienfaits à la faune, surtout aux abeilles et aux papillons. Les plantes indigènes n’exigent aucune tonte et sont belles. Il nous suffit de nous habituer à cette nouvelle esthétique.

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