Sécurité de la faune
Parc national Forillon
Vous êtes témoin d’une activité illégale au parc, comme le nourrissage ou le harcèlement de la faune, appelez le service de répartition de Parcs Canada au 1-888-762-1422 (ouvert 24 h sur 24).Signaler des activités illégales
Un parc surtout forestier
La forêt couvre la quasi-totalité du parc national Forillon. Parmi la faune qu'elle abrite, on compte entre autres l'orignal, l'ours noir, le coyote et le lynx.
Il n'est pas impossible que des randonneurs puissent rencontrer l'un de ces mammifères forestiers dans un sentier, près d'un site de camping, en arrière-pays ou aux abords d'un étang.
La plupart des rencontres entre un humain et un animal se déroule bien, pour l'un comme pour l'autre. Elles deviennent même d'agréables anecdotes de voyage. Pour maintenir une saine cohabitation humain-faune au parc, il importe que les visiteurs se renseignent sur la façon d'agir ou de réagir avec certaines espèces.
L'orignal : le roi de nos forêts
Présentation de l'animal
L'orignal est parfois solitaire, parfois grégaire.
Photo : Norbert Denis
L'orignal, ou Élan d'Amérique (Alces Americanus), est l'un des animaux qui suscitent le plus d'intérêt. Sa stature imposante et l'impressionnant panache qu'arbore le mâle lui ont valu le surnom du roi des forêts. De fait, c'est le plus grand mammifère terrestre qui fréquente Forillon.
Moins présents sur le territoire de Forillon avant les années 1920, et à faible densité jusqu’aux années 1970, les orignaux ont gagné en nombre depuis la création du parc. Selon les données de l’inventaire aérien de 2023, la population d’orignaux du parc est estimée à environ 520 individus, soit 22 bêtes/10 km2.
Il est possible d’observer des orignaux au parc : il suffit d’avoir un peu de chance, quelques connaissances sur ses habitudes, un peu de patience et une bonne dose de discrétion. Il est d'ailleurs recommandé de respecter une distance d'au moins 50 m entre l'observateur et l'animal.
De tempérament relativement calme, le plus souvent solitaire, l’orignal peut toutefois être territorial et grégaire durant le rut, principalement de la mi-septembre au début octobre. Nous recommandons aux randonneurs du parc de redoubler de vigilance pendant cette période.
Le langage de l’orignal
L’orignal, comme la plupart des ongulés, est en général pacifique.
Contrairement à celui de l’ours noir, le langage de l’orignal peut être plus difficile à décoder pour l’humain. Voici néanmoins quelques indices vous permettant de « prédire » son comportement et de réagir en conséquence en sa présence.
Un orignal peut manifester de l’agitation ou de l’agressivité pendant le rut où lorsqu’il est en situation de vulnérabilité (en réaction à une attaque, s’il est coincé, désorienté, blessé ou malade).
L’humain décode d’instinct les signes d’agressivité d’un orignal. La tête inclinée vers l’avant, les oreilles rabattues vers l’arrière, l’animal fera face à ce qu’il considère une menace, il émettra des sons gutturaux ou des brâmements, les poils de son échine se dresseront, il piaffera avec l’une de ses pattes avant, prêt à charger.
Aucune attaque d’un orignal envers un humain n’a été répertoriée au parc.
Partager le territoire avec l’orignal
En forêt, l’orignal est chez lui. En tout temps, faites preuve de respect envers cet animal et son environnement. Ne vous approchez jamais d’un orignal, ne tentez jamais de le faire réagir, ne l’appelez jamais en imitant son bramement et, surtout, ne l’agressez jamais.
Comment réagir si un orignal vous charge
- Gardez votre sang-froid.
- Ne courez pas.
- Placez-vous derrière un gros arbre ou groupe d’arbres sans perdre de vue l’orignal. L’arbre vous protègera.
- Manifestez-vous : montrez-lui que vous n’avez pas peur en criant de manière agressive. Dès qu’il reconnaitra que vous ne représentez pas une menace pour lui, il partira.
- Attendez qu’il soit à une bonne distance (environ 50 m) avant de rebrousser chemin.
- Respirez, buvez une gorgée d’eau, reprenez votre calme.
- Appelez quelqu’un de rassurant pour vous.
- Appelez le service de répartition de Parcs Canada au 1-888-762-1422 pour rapporter la situation.
Nos efforts en conservation
L’orignal est un grand herbivore qui consomme de 20 à 30 kg de végétation par jour.
Au cours des deux dernières décennies, sa population à Forillon a connu une croissance exponentielle au point d’atteindre des densités susceptibles de menacer l’intégrité écologique du parc.
C’est pourquoi nous avons élaboré le Plan de gestion de la population surabondante d’orignaux.
Autres informations
Le cerf de Virginie est trois à quatre fois moins massif que l'orignal.
Le cerf de Virginie est un autre cervidé qui fréquente le parc. Plus menu, il est aussi beaucoup plus craintif de l’humain. Si vous avez la chance d’en observer un, profitez du moment en gardant une distance minimale de 50 m.
Pour plus d'information, consultez notre page Web Orignal – maintenir l’équilibre de la forêt
Vous avez des questions sur la sécurité de la faune au parc? Demandez aux guides-interprètes ou aux gardes de parc que vous rencontrerez.
L’ours noir : apprivoiser nos craintes
Présentation de l'animal
La diète de l'ours noir est surtout constituée de végétaux.
Photo : Mathieu Dupuis
Vénéré dans certaines cultures, méprisé dans d’autres, l’ours noir demeure un mammifère forestier plutôt craintif de l’humain. C’est aussi un animal opportuniste, puissant et solitaire.
Espèce endémique au Canada, l’ours noir est le seul membre de la grande famille des ursidés qu’on retrouve à Forillon. C’est aussi le moins massif.
On estime sa population à environ 130 individus dans les limites du parc.
Certains signes témoignent de sa présence au parc. Les randonneurs attentifs noteront un nid de fourmis gratté à la surface, des marques de griffes sur le tronc d'un peuplier, des lambeaux d’écorces au bas de certains conifères comme les thuyas ou une portion de sentier ponctuée d’excréments.
Le régime alimentaire de l’ours noir est composé presqu’exclusivement de plantes et de fruits.
Partager le territoire avec l'ours noir
Aucune attaque d’un ours noir envers un humain n’a été répertoriée au parc.
Mieux connaitre l’ours noir permet aux randonneurs d'apprivoiser certaines craintes lors d'une promenade en forêt. Apprenez des comportements à adopter au cas où vous rencontriez un ours noir.
Pour en savoir plus à ce sujet, consultez la page Partager le territoire avec l'ours noir
Nos efforts en conservation
Procéder au dénombrement des ours noirs à Forillon n’est pas une tâche facile pour notre équipe en conservation. Caché dans une tanière pendant les longs mois d’hiver, l’ours noir s’active le reste de l’année dans la forêt dense de Forillon en évitant le contact avec les humains.
L’installation de caméras de surveillance à déclenchement automatique (caméra de chasse) disposées aléatoirement sur le territoire s’est révélée être une solution fiable pour évaluer la population d’ours au parc. Grâce à cette technique, notre équipe a pu estimer qu’en 2020, Forillon abritait environ 130 individus.
À Forillon comme au Canada, la population d’ours noirs est en santé.
Liens utiles
L'ours noir se place debout sur ses jambes arrière pour mieux sentir ou observer son environnement. Ce n'est pas un signe d'agressivité.
Photo : Serge Ouellet
Bien agir et bien réagir
Il peut arriver, pendant une randonnée au parc, que vous rencontriez un ours noir. Voici quelques conseils susceptibles de vous aider à bien agir et à bien réagir en sa présence.
Le coyote de l'Est : un canidé bien adapté
Présentation de l'animal
Le coyote de l'Est fréquente parfois des sentiers forestiers.
Photo : Pierre Etcheverry
Le coyote de l’Est est actif toute l’année à Forillon : il ne migre pas, il n'hiberne pas non plus.
Moins massif qu’un loup, mais plus gros qu’un renard roux, le coyote de l’Est fait sensiblement la taille d’un berger allemand. Sa fourrure varie du gris au roux.
Il se nourrit surtout de petits mammifères et de petits fruits. Si l’occasion se présente, il peut s’attaquer à un faon ou à un veau orignal.
Il est encore trop tôt pour évaluer le nombre de coyotes qui fréquentent le parc ainsi que leur portrait biologique. Nous pouvons toutefois supposer que la plupart des individus sont hybridés : ils possèdent aussi des gènes du loup.
Au début du 20e siècle, les coyotes se sont croisés avec les loups en Ontario et au Québec, et, alors qu'ils continuaient leur déplacement vers l'est, ce patrimoine génétique est resté. Conséquence : ces coyotes hybridés ont tendance à être plus massifs et plus grégaires que leurs ancêtres de l'ouest. D’ailleurs, des analyses d’échantillons d’ADN prélevés sur des coyotes de l’Est du Canada ont confirmé cette hybridation entre le coyote et le loup.
À noter qu’au Québec, il n’y a plus de loups sur la rive sud du fleuve Saint-Laurent depuis le début du 20e siècle.
Le langage du coyote
Il est possible d’entendre des jappements ou des hurlements de coyotes au parc à partir du crépuscule. Ces aboiements et autres plaintes aiguës et prolongées impressionnent. Bien qu’elles semblent provenir d’un grand groupe, ce ne sont souvent que les cris deux ou trois individus que les collines environnantes réverbèrent et amplifient.
Il arrive que des campeurs à Petit-Gaspé confondent les vocalisations des phoques communs, qu’on appelle aussi « loups-marins », avec les cris des coyotes. Dans les deux cas, il ne faut pas s’inquiéter : ce ne sont pas des signes d’agressivité, mais plutôt l’expression d’animaux grégaires et sociables.
Partager le territoire avec le coyote
Si le coyote se trouve à une distance de plus de 50 m et qu’il vaque à ses occupations, profitez du moment pour admirer cet animal tout en demeurant vigilant.
Les coyotes sont des animaux curieux, intelligents et qui ont une très bonne capacité d'adaptation. Avec l'étalement urbain, certains individus ont appris à côtoyer les humains. Mais les coyotes demeurent des animaux sauvages, et il est important de faire preuve de prudence en leur présence. Ne vous approchez pas d'un coyote. Surtout, ne le nourrissez pas.
Si le coyote s’approche de vous, il est important de réagir de la manière suivante :
- Gardez votre chien en laisse.
- Restez groupés.
- Résistez à la tentation de courir. Reculez lentement.
- Faites-vous le plus imposant possible : agitez les bras ou brandissez des bâtons au-dessus de votre tête.
- Faites beaucoup de bruit (en criant, en frappant vos bâtons de randonnée, des branches d’arbre, en utilisant un sifflet ou une cloche).
- Surtout, ne lui lancez pas de nourriture (il considérera cela comme une récompense et répétera ce comportement auprès d’une autre personne).
Si vous voyez un coyote au parc, informez le service de répartition de Parcs Canada au 1-888-762-1422.
Nos efforts en conservation
Notre équipe de conservation évalue présentement des options pour déterminer la densité de la population de coyotes au parc.
Un autre canidé : le renard roux
Des renards habitués à la présence humaine semblent parfois prendre la pose pour les photographes.
Photo : Pierre Etcheverry (photo recadrée).
Le renard roux est un autre membre de la famille des canidés qu’abrite Forillon. Plus menu que le coyote, ce chasseur rusé fréquente les forêts et les aires ouvertes du parc à la recherche de gélinottes, de lièvres et d’autres rongeurs. Il n’est pas rare de le voir gambader près des routes ou des terrains de camping.
S’il ne représente pas une menace pour l’humain, il peut s’attaquer à des animaux de compagnie de moindre taille. Il importe donc de garder votre animal en laisse avec vous à l'extérieur.
Méfiant de nature, le renard roux s’habitue rapidement à la présence humaine. Il arrive qu'il profite de la négligence des campeurs pour chaparder leurs restes de nourriture. Voilà pourquoi il importe de tenir votre emplacement de camping propre en votre absence.
Parce que cet animal d’une grande beauté rappelle le chien par sa taille et son comportement, certaines personnes sont tentées de le nourrir. Mais, ce geste en apparence banal est très nuisible pour le renard comme pour les autres usagers du parc. il est très important de ne pas nourrir un renard, surtout aux abords des routes. Cela expose l’animal à des risques de blessures et de mortalité en plus de nuire à la sécurité des automobilistes. Les contrevenants s'exposent à des amendes importantes.
Le lynx du Canada : un félin discret
Présentation de l'animal
Le lynx du Canada : un félin charismatique... si on a la chance de l'observer!
Photo : Jean Francoeur
Seul représentant des félidés au parc, le lynx du Canada mène une existence plutôt secrète.
S'il a la chance d'en voir un, un randonneur observateur peut facilement l'identifier : ce félin possède une épaisse fourrure grise ou brunâtre légèrement tachetée, des gros pieds coussinés, des oreilles pointues garnies d'un pinceau de poils noirs et une queue courte terminée par une pointe noire.
Le lynx du Canada a besoin d’un vaste territoire, préférablement une forêt dense et mature. Voilà pourquoi on le remarque peu. Au début des années 2000, on évaluait la densité de sa population à environ 13 individus par 100 km2 au parc.
Les populations de lynx du Canada fluctuent en suivant celles du lièvre d’Amérique, sa proie de prédilection. Quand l’abondance de lièvres affecte la croissance de certains peuplements forestiers en broutant les jeunes pousses et les ramilles, le lynx vient réguler ces nombreux rongeurs en s’y attaquant. Ce prédateur joue donc un rôle important pour la santé de la forêt.
Le langage du lynx
Comme la plupart des félins, le lynx du Canada pousse des cris, il feule, il crache et, même, il ronronne.
Partager le territoire avec le lynx
Il n’est pas normal qu’un lynx à découvert tolère la présence d’un humain ou qu’il s’en approche. Dans ce cas, les randonneurs doivent être vigilants et faire un signalement à un employé du parc ou au service de répartition de Parcs Canada (1-888-762-1422).
Le lynx du Canada est le seul félin indigène toujours présent sur le territoire du parc. Il n’y a pas de population établie de lynx roux ou de cougar.
On ne compte aucune attaque de lynx du Canada sur un humain depuis la création du parc national Forillon en 1970.
Liens utiles
Après une randonnée en forêt, une inspection s'impose, même pour votre animal de compagnie.
Photo : Mathieu Dupuis
Tique et maladie de Lyme
La tique à pattes noires est présente au parc. Certaines tiques peuvent être des vectrices de la maladie de Lyme.
La meilleure façon de vous protéger contre la maladie de Lyme consiste à prévenir les morsures de tiques.
- Optez pour des sentiers dégagés.
- Portez des vêtements pâles.
- Bouchez les issues : rentrez le chandail dans le pantalon et le bas de pantalon dans les chaussettes.
- Utilisez un chasse-moustiques contenant du DEET.
- Après la randonnée, inspectez minutieusement (famille, enfant, vêtement, équipement, animal de compagnie).
- Retirez la tique rapidement.
Conseils de prévention
Plus de conseils sur la prévention et les risques associés à la maladie de Lyme
Vidéo sur la bonne façon de retirer une tique (chaine YouTube Canadiens en santé)
Phoque gris et phoque commun : vedettes des littoraux
Présentation de chaque espèce
Les rochers littoraux sont des lieux de repos parfaits pour cette mère phoque commun et son chiot.
Photo : Serge Ouellet
Le phoque gris et le phoque commun se distinguent par leur taille et la forme de leur tête : le phoque gris est plus imposant que le phoque commun et la forme de sa tête rappelle celle d’un cheval. La tête du phoque commun se rapproche un peu plus de celle d'un chien, mais sans les oreilles.
Leur population dans le Golfe du Saint-Laurent est dite en santé. On dénombre plus d’un millier d’individus de chaque espèce dans les eaux entourant la péninsule de Forillon. Ils se nourrissent principalement de poissons et de crustacés.
Le langage du phoque
Lorsqu’ils sont rassemblés dans une échouerie, au pied d’une falaise du parc, les phoques sont très bruyants. Grognements, jappements gutturaux, hurlements, leur « vocabulaire » peut rappeler celui des loups, d’où leur surnom de « loups-marins ».
Que les campeurs de Petit-Gaspé se rassurent : les cris de ces mammifères marins ne sont pas des marques d’agressivité, mais celles d’animaux grégaires et sociables.
Partager le territoire avec le phoque
À moins de s’adonner à la plongée ou au kayak de mer, les interactions entre les humains et les phoques sont assez rares à Forillon.
On recommande de se tenir à une distance minimale de 100 m d’un phoque, qu’il soit dans l’eau ou à terre.
En deçà de cette distance, l’animal vous observera et, si vous vous en approchez davantage, il s’empressera probablement de plonger.
Important : Au Canada, il est illégal de perturber un mammifère marin. Vous ne pouvez pas :
- nourrir un mammifère marin, nager en sa compagnie ou interagir avec lui;
- déplacer un mammifère marin (y compris en l’attirant ou en l’obligeant à se déplacer);
- séparer un mammifère marin de son groupe ou vous placer entre celui-ci et un petit;
- piéger un mammifère marin ou un groupe entre un navire et le rivage, ou entre des navires;
- étiqueter ou marquer un mammifère marin.
Jeunes phoques échoués
Si vous voyez un jeune phoque esseulé, gardez vos distances et vos animaux de compagnie en laisse, sa mère est probablement à proximité. Les phoques ont l'habitude de passer de longues heures hors de l’eau à se reposer, et il ne faut pas les déranger.
Surtout, n’essayez pas de le remettre à l’eau. Cela risque davantage de lui nuire. Cette intervention, même bien intentionnée, peut conduire sa mère à l’abandonner et, par conséquent, à le condamner à une mort certaine.
Rappelons que les phoques peuvent véhiculer des zoonoses, soit des virus ou bactéries susceptibles de s’attaquer aux humains. Bien que le risque de contagion soit faible, il est fortement recommandé d’éviter de s’approcher des échoueries de phoques, ces lieux de rassemblement situés au pied de certaines falaises. Les visiteurs sont plutôt invités à privilégier les plages accessibles du parc.
Nos efforts en conservation
Tous les cinq ans, nous procédons au décompte des phoques qui fréquentent les eaux et le littoral de Forillon.
Signaler, c'est pour leur bien.
Photo : Mathieu Fournier
Signaler un animal en difficulté
Si vous êtes témoin d'un animal en difficulté, blessé ou mort au parc ou sur les routes environnantes, contactez le service de répartition de Parcs Canada. Un membre de l'équipe de conservation ou un garde de parc sera dépêché sur les lieux.
Service de répartition de Parcs Canada : 1-888-762-1422
Certaines espèces doivent obligatoirement être signalées aux autorités du parc ou, si elles sont trouvées sur le réseau routier, à la Sureté du Québec. C'est entre autres le cas de la grande faune terrestre et marine et de certains oiseaux.
- Baleines, dauphins, phoques;
- Orignal, cerf de Virginie (chevreuil), ours noir;
- Coyote de l'Est, renard roux, lynx du Canada;
- Castor, pékan, martre, loutre;
- Oiseaux de proie comme l'aigle royal, le pygargue à tête blanche, l'urubu à tête rouge, le balbuzard pêcheur, le busard Saint-Martin, les éperviers, les buses et les faucons.
Quelques exemples
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